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Le paratexte, c’est quoi au juste
Un mot savant pour désigner tout ce qui escorte un texte, tout ce auquel on ne fait pas toujours attention, et qui n’en demeure pas moins rattaché au sens du texte. L’objet de cet ouvrage est de lire l’activité « paratextuelle »
SI PROCHE DU BONHEUR
« Tous les livres de Jeannette Ahonsou semblent poursuivre le même idéal, la même quête : défendre la condition des femmes. Et elle s’y emploie avec sensibilité et radicalité. Ce nouveau roman aux allures de roman policier n’y échappe pas. Vous y découvrirez des personnages trouble-fête, des hypocrites qui s’assument, des hommes de Dieu appliqués à faire leur travail, pendant que le monde s’écroule au dehors. Ahonsou raconte le couple, la famille, les folies humaines avec maestria et doigté. »
Kangni Alem, Grand Prix Littéraire d’Afrique Noire
LA GAZELLE S’AGENOUILLE POUR PLEURER
« Ce recueil de quatorze nouvelles contre douze à sa première parution en 2001 puis quatorze à sa deuxième édition en 2003, embarque le lecteur dans une échappée sensible et réflexive à travers des histoires teintées d’humour et de réalités crues. Kangni Alem revient avec La gazelle s’agenouille pour pleurer, revu et augmenté, pour donner un nouveau goût à ses lecteurs, anciens, nouveaux comme futurs. Comme à son habitude, il y fait rire et voyager dans plusieurs pays, avec un style de narration particulier, propre à lui. »
LA COULEUR DE L’ÉCRIVAIN
« Précédemment paru en 2014 aux éditions la Cheminante, La couleur de l’écrivain n’a pas pris une ride. Le texte retrouve désormais ses lecteurs de cœur à Lomé, Abidjan, Cotonou, et plus loin encore, tant il a besoin d’être lu et relu ; pour comprendre la comédie de la littérature dans un monde où les écrivains proclament des idéaux généreux, mais sont rattrapés par la réalité sordide du racisme, du colorisme et autres insanités propres à l’être humain. En philosophe implacable, en sociologue presque blasé, Sami Tchak voyage et nous livre dans cet essai très littéraire, la mesure de son impeccable lecture du monde. Impeccable ! »
Kangni Alem, Grand Prix littéraire d’Afrique Noire
ÉTRANGE HERITAGE
« Ce roman des années 80 montre une jeunesse friande de mode occidentale, de plaisirs et de sexualité. On y rencontre des pratiques sociologiquement datées comme les « surprises-parties », les « afternoon jumps », la fréquentation des boîtes de nuit, les sorties amoureuses à la plage ou au cinéma. Gad Ami décrit largement ces attitudes et on en vient à rêver (sans aucune preuve réelle, bien entendu) de sa propre implication au sein de la jeunesse de cette époque, une jeunesse des années fastes, d’avant les crises politiques et économiques, d’avant les contestations démocratiques. Il est temps de redécouvrir Gad Ami, il est temps de célébrer son premier roman comme un jalon important dans l’histoire de la littérature togolaise. »
Kangni Alem, Grand Prix Littéraire d’Afrique Noire
ABECEDAIRE DE L’AMOUR
« Je souhaite que ce généreux partage nous inspire à construire des vies empreintes d’actes et de gestes d’amour au quotidien afin de contribuer durablement à rendre notre monde plus humain et plus habitable ! Que cet abécédaire soit une source d’inspiration pour nous tous, enfants et jeunes, adultes et vieux qui aspirent à écrire de belles pages de vie telles que celles que nous allons parcourir maintenant. Tout ce que vous aurez à faire, faites-le par amour. »
Sœur Éléonore N’CHO
Supérieure de la Communauté
Saint-François Xavier,
Ancienne Directrice du Lycée Sainte-Marie,
Directrice générale du Lycée Daniélou d’Abidjan.
L’AGONIE DES RÈGNES IMPIES
« Dans une alchimie dont il a seul le secret, l’auteur a condensé les vers, les a compressés pour mieux frapper… comme des coups de poings. Nietzsche dira à un moment donné qu’il philosophe au marteau. Et si Macaire Etty, dans ce texte, poétisait au marteau ! Ce qui contribuerait fortement à « iconoclastiser » ce puissant poème de résis-tance. Je respecte celui qui résiste (…) Je jubile et lévite toujours devant les ‘Immortels’ de la République des Lettres, ces Gardiens de notre invisible Acropole de la Pensée d’où jaillit le Logos qui fait être les choses, les fait advenir du néant à l’être. Macaire Etty est en train, patiemment et sûrement, dans l’acuité ontophanique de son écriture si caractéristique, de se faire une place – sa place – sur le bout de natte aux côtés des Maîtres, « ces mentons velus et ces talons rugueux » de la littérature ivoirienne et africaine. »
Simplice Yodé DION
Philosophe, Écrivain Président de l’Association Ivoirienne des Professeurs de Philosophie,
Commandeur dans l’Ordre du Mérite de l’Éducation Nationale
DEVOIR DE DIGIGA
À la lecture de l’œuvre, Devoir de Didiga n’est pas un simple hommage au fondateur ivoirien du genre. Il est surtout utile dans la construction d’une œuvre écrite, c’est-à-dire, ici, dans l’avènement d’une « littérature » – au sens littéral. (…)Ceci explique en particulier le découpage de la pièce de Clément qui reprend tous les codes antiques du genre, du prologue à l’épilogue, l’alternance entre chant et dialogue, l’accompagnement des héros par un chœur, etc., (…)Cependant, par cette construction, il ouvre la possibilité de lire et de comprendre le genre du didiga comme un moment du chaos du langage dans la société (bété), ou, plus exactement, comme un moment où se forge précisément un langage (et peut-être même une certaine vision) du monde.
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Le paratexte, c’est quoi au juste
Un mot savant pour désigner tout ce qui escorte un texte, tout ce auquel on ne fait pas toujours attention, et qui n’en demeure pas moins rattaché au sens du texte. L’objet de cet ouvrage est de lire l’activité « paratextuelle »
SI PROCHE DU BONHEUR
« Tous les livres de Jeannette Ahonsou semblent poursuivre le même idéal, la même quête : défendre la condition des femmes. Et elle s’y emploie avec sensibilité et radicalité. Ce nouveau roman aux allures de roman policier n’y échappe pas. Vous y découvrirez des personnages trouble-fête, des hypocrites qui s’assument, des hommes de Dieu appliqués à faire leur travail, pendant que le monde s’écroule au dehors. Ahonsou raconte le couple, la famille, les folies humaines avec maestria et doigté. »
Kangni Alem, Grand Prix Littéraire d’Afrique Noire
LA GAZELLE S’AGENOUILLE POUR PLEURER
« Ce recueil de quatorze nouvelles contre douze à sa première parution en 2001 puis quatorze à sa deuxième édition en 2003, embarque le lecteur dans une échappée sensible et réflexive à travers des histoires teintées d’humour et de réalités crues. Kangni Alem revient avec La gazelle s’agenouille pour pleurer, revu et augmenté, pour donner un nouveau goût à ses lecteurs, anciens, nouveaux comme futurs. Comme à son habitude, il y fait rire et voyager dans plusieurs pays, avec un style de narration particulier, propre à lui. »
LA COULEUR DE L’ÉCRIVAIN
« Précédemment paru en 2014 aux éditions la Cheminante, La couleur de l’écrivain n’a pas pris une ride. Le texte retrouve désormais ses lecteurs de cœur à Lomé, Abidjan, Cotonou, et plus loin encore, tant il a besoin d’être lu et relu ; pour comprendre la comédie de la littérature dans un monde où les écrivains proclament des idéaux généreux, mais sont rattrapés par la réalité sordide du racisme, du colorisme et autres insanités propres à l’être humain. En philosophe implacable, en sociologue presque blasé, Sami Tchak voyage et nous livre dans cet essai très littéraire, la mesure de son impeccable lecture du monde. Impeccable ! »
Kangni Alem, Grand Prix littéraire d’Afrique Noire
ÉTRANGE HERITAGE
« Ce roman des années 80 montre une jeunesse friande de mode occidentale, de plaisirs et de sexualité. On y rencontre des pratiques sociologiquement datées comme les « surprises-parties », les « afternoon jumps », la fréquentation des boîtes de nuit, les sorties amoureuses à la plage ou au cinéma. Gad Ami décrit largement ces attitudes et on en vient à rêver (sans aucune preuve réelle, bien entendu) de sa propre implication au sein de la jeunesse de cette époque, une jeunesse des années fastes, d’avant les crises politiques et économiques, d’avant les contestations démocratiques. Il est temps de redécouvrir Gad Ami, il est temps de célébrer son premier roman comme un jalon important dans l’histoire de la littérature togolaise. »
Kangni Alem, Grand Prix Littéraire d’Afrique Noire
ABECEDAIRE DE L’AMOUR
« Je souhaite que ce généreux partage nous inspire à construire des vies empreintes d’actes et de gestes d’amour au quotidien afin de contribuer durablement à rendre notre monde plus humain et plus habitable ! Que cet abécédaire soit une source d’inspiration pour nous tous, enfants et jeunes, adultes et vieux qui aspirent à écrire de belles pages de vie telles que celles que nous allons parcourir maintenant. Tout ce que vous aurez à faire, faites-le par amour. »
Sœur Éléonore N’CHO
Supérieure de la Communauté
Saint-François Xavier,
Ancienne Directrice du Lycée Sainte-Marie,
Directrice générale du Lycée Daniélou d’Abidjan.
L’AGONIE DES RÈGNES IMPIES
« Dans une alchimie dont il a seul le secret, l’auteur a condensé les vers, les a compressés pour mieux frapper… comme des coups de poings. Nietzsche dira à un moment donné qu’il philosophe au marteau. Et si Macaire Etty, dans ce texte, poétisait au marteau ! Ce qui contribuerait fortement à « iconoclastiser » ce puissant poème de résis-tance. Je respecte celui qui résiste (…) Je jubile et lévite toujours devant les ‘Immortels’ de la République des Lettres, ces Gardiens de notre invisible Acropole de la Pensée d’où jaillit le Logos qui fait être les choses, les fait advenir du néant à l’être. Macaire Etty est en train, patiemment et sûrement, dans l’acuité ontophanique de son écriture si caractéristique, de se faire une place – sa place – sur le bout de natte aux côtés des Maîtres, « ces mentons velus et ces talons rugueux » de la littérature ivoirienne et africaine. »
Simplice Yodé DION
Philosophe, Écrivain Président de l’Association Ivoirienne des Professeurs de Philosophie,
Commandeur dans l’Ordre du Mérite de l’Éducation Nationale
DEVOIR DE DIGIGA
À la lecture de l’œuvre, Devoir de Didiga n’est pas un simple hommage au fondateur ivoirien du genre. Il est surtout utile dans la construction d’une œuvre écrite, c’est-à-dire, ici, dans l’avènement d’une « littérature » – au sens littéral. (…)Ceci explique en particulier le découpage de la pièce de Clément qui reprend tous les codes antiques du genre, du prologue à l’épilogue, l’alternance entre chant et dialogue, l’accompagnement des héros par un chœur, etc., (…)Cependant, par cette construction, il ouvre la possibilité de lire et de comprendre le genre du didiga comme un moment du chaos du langage dans la société (bété), ou, plus exactement, comme un moment où se forge précisément un langage (et peut-être même une certaine vision) du monde.