Condamnés à ne jamais naître
3.500 CFA
En partant d’une confession fictive imputée à un médecin condamné par la justice de son pays pour un fait pénal, l’auteur fait une incursion dans le domaine gynéco-obstétrique qui n’est pas le sien mais qu’il semble maîtriser grâce à des recherches. Les résultats de ses investigations sont exposés ici sous la forme d’une confession de quinze années d’expérience dans la pratique abortive.
Moïse O. Inandjo est Administrateur de Liaison avec le Gouvernement au bureau du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés au Tchad. Jeune écrivain prolifique, engagé et très reconnu, il est auteur d’une dizaine d’ouvrages parus entre 2006 et 2019 ā travers lesquels il s'insurge contre les fléaux qui minent la société. Fidèle à sa logique de passer par la littérature pour éveiller tant soit peu les consciences des populations sur les problèmes récurrents de notre société, il a à son actif, dix (10) ouvrages.
Œuvre similaires
AU COMMENCEMENT ETAIT LE GLAIVE
Au cœur oublié de l’Afrique, en lisière des grands fleuves, des déserts infinis, des volcans mal éteints, Hamouris et Bamounas fourbissent leurs glaives. Ennemis depuis le commencement, le peuple de la cité et la tribu des forêts sont prêts, cette fois, à s’exterminer. Sans pitié. Sans limite. Sans repentir. Dans l’ivresse génocidaire. Le mal est-il inévitable dans l’histoire ? L’espérance est-elle condamnée au silence ? Et le seul sacrifice des femmes peut-il racheter la folie des hommes ? Sur fond de mânes des ancêtres et de chiens de guerre, de filles gazelles et de sorciers maudits, d’amours telluriques et de rires sanglants, c’est tout un continent que chante Edem KODJO.
Charnel, incantatoire, voici un roman-univers en forme de parabole implacable sur le temps présent.
REGENERATION
Frappé par la poliomyélite à l’âge de cinq ans, l’auteur perd l’usage de ses jambes. Contre la nature et contre la prédiction des hommes, à force de courage et de privations, il a su surmonter les entraves du handicap pour atteindre son objectif, celui d’être utile à la société.
Sur les routes sanglantes de l’exil
Ce roman nous mène dans les tristes réalités de la guerre qui constitue la vie en amont des réfugiés. Il ne s’agit pas seulement des crépitements de balles mais surtout d’une histoire d’amour pleine d’émotions, de larmes de joie et de peine et entrecoupé de suspens qui se vit d’abord dans un pays noyé dans la guerre et ensuite sur une terre d’asile.
Les marmailleurs
L’aiguille de la montre indiquait vingt-deux heures quinze. Couché dans son lit, il revoyait en boucle, le film de la journée, en particulier, la séquence de son arrestation. Deux jours avant les épreuves, les parents d’élèves défilaient sous ses yeux. Il finit par tendre la main. Un cas, deux, trois, quatre, dix, vingt avaient déposé une enveloppe. Gagné par l’ivresse du gain facile, il avait manqué d’attention.
Erreur fatale
« J’ai été jugée et condamnée à dix ans de prison pour un crime que je n’avais pas commis. La nature me faisait sûrement payer mes crimes passés pour lesquels j’avais échappé à toute poursuite. J’en paye le prix fort. Du fond de ma cellule, je prie pour ma mère même si je lui en veux toujours. Je prie pour elle car je sais que depuis mon arrestation elle ne cesse de pleurer. Au procès, chaque fois que je tournais mon regard vers elle, du bout des lèvres, elle me murmurait: »je te demande pardon, Mira ». »
Lungi, le récit d’une tragédie
“L’un des plus tristes et douloureux évènements sur le parcours de notre football, ce tragique crash d’hélicoptère qui a anéanti dans l’effroi et pour toujours à Lungi, des parents, des amis, des papas, des mamans, oncles, tantes, frères, sœurs, bref, des compatriotes, dont le seul péché est l’amour du ballon rond, continue de hanter notre conscience collective voilà une décennie.
C’est en réalité cette hécatombe qui n’est pas entrée dans l’Histoire comme il se doit, que tente de rendre mémorable par voie d’écriture, Pierrot Attiogbé. Témoin oculaire, le journaliste Pierrot Attiogbé, membre de la délégation togolaise en Sierra Leone, se saisit de sa plume pour immortaliser cette affre. Cet ouvrage à quintessence insoupçonnée, et au demeurant historique, reprend de manière saisissante et sélective, des témoignages de proches parents de quelques-unes des victimes.”
La plus belle maman
Un événement inédit : la Mairie lance le concours de la plus belle maman du village. Le petit Cossi y inscrit sa mère. Celle-ci, consciente de sa laideur physique, refuse d’y prendre part. Mais l’enfant, convaincu que sa mère est la plus belle de toutes les mamans du village, réussit à lui faire changer d’avis. Et le miracle se produit.
« La plus belle maman » est la célébration de la beauté du cœur, un réquisitoire contre l’intolérance et un plaidoyer en faveur des exclus et des mal-aimés de la société.
Mon nom est Horizon
Un garçon africain de 11 ans découvre dans un livre dont il tait le titre et le contenu, sa passion pour la langue française. Il ressent alors une vocation à aller »faire France », c’est-à-dire : enrichir cette langue sur sa propre terre, en signe de reconnaissance, avec les richesses de sa langue maternelle (le Mina) et de sa culture togolaise. Le voilà alors embarqué dans une aventure chaotique où il découvrira les hauts et les bas de l’esprit humain, dans la quête et la conquête du mot du siècle : le mot censé résumer le 21ième siècle tout en lui fixant son défi. Quel est ce mot ? Quel est ce mot dont la quête le ramène sur sa terre natale pour le reconnecter avec l’esprit de ses aïeux ? Comment résume-t-il notre ère ?
UN DESTIN TRAGIQE
UN DESTIN TRAGIQUE est un roman composé de quatre chapitres dont Entre la vie et la mort, L’amour précoce, le VIH, et La rencontre divine. Chaque chapitre traite d’une problématique liée aux maux qui gangrènent la société d’aujourd’hui. L’auteur, Professeur de philosophie et diplomate, consacre sa plume au VIH SIDA qui ravage encore aujourd’hui, mais ignoré au profit de la Covid-19. Malgré son emploi du temps hyper chargé, le Ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration Régionale et des Togolais de l’Extérieur contribue au combat contre la maladie du siècle à travers ce roman à couper le souffle au lecteur.
La mauvaise foi ne se présume pas
La société contemporaine met en scène des acteurs plus ou moins honnêtes ; dans ce contexte, les plus malins pour ne pas dire les plus forts, tirent souvent leur épingle du jeu. Mais ce n’est pas dans tous les cas que le plus faible perd. La situation se retourne des fois contre les mafieux. D’autres prennent leur mal en patience, et transforment une situation qui leur a été défavorable en bonheur. C’est ainsi que contre les adversités et contre vent et marrées, des hommes tirent le meilleur des pires situations. Toutes ces situations, l’auteur qui n’est pas à son coup d’essai, les mets en exergue dans ces nouvelles qui ont des titres évocateurs : les voies de Dieu sont impénétrables, on ne vend pas la peau d’un ours avant de l’avoir tué, la démocratie du plus fort est toujours la meilleure comme le chante Alpha BLONDY, mauvaise foi ? Et le réactionnaire. A travers ces textes, l’auteur essaie de vous faire voyager à travers son époque. Ce qui nous fait l’appeler, témoin de son époque.
Sarafina ou un destin brisé
C’est le récit d’une fin horrible et navrante de l’histoire de Sarafina qui rouvre le débat sur le dialogue entre parents et adolescents face aux aventures amoureuses de ces derniers qui débouchent souvent sur des drames inattendus.
A mal d’amour, lasse
»A mal d’amour, lasse » évoque les nombreux ressentiments de la femme, surtout dans les sociétés traditionnelles africaines où perdure encore la conception selon laquelle celle-ci n’a de rôle à jouer qu’au foyer. Il nous fait surtout vivre les nombreux sacrifices qu’elles sont prêtes à consentir – bien souvent par amour – dans le silence de la douleur, au nom de la famille, des enfants et plus encore, des valeurs sociétales.