L’œil des coulisses
4.000 CFA
Avec L’œil des coulisses, que votre jubilation soit pure, exaltante, pérenne et accoucheuse de bonnes idées pour que les femmes soient « femme et mères et non objets de jouissance », pour que si les femmes « refusent de faire des hommes, des hommes vraiment responsables, que les hommes apprennent aux femmes à être femmes » afin que le monde ait un autre visage et présente un autre cadre où il fait bon vivre
De nationalité togolaise, Médard Delali AVEGNON est Maître de Conférences de Littérature orale, enseignant-chercheur et Directeur des Etudes à l'Ecole Normale Supérieure d'Atakpamé. Après des ouvrages scientifiques, ce féru de littérature signe, dans un style simple, son tout premier roman : L'œil des coulisses, un émouvant plaidoyer contre la violation des droits de la femme (par les hommes et par elle-même).
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Lungi, le récit d’une tragédie
“L’un des plus tristes et douloureux évènements sur le parcours de notre football, ce tragique crash d’hélicoptère qui a anéanti dans l’effroi et pour toujours à Lungi, des parents, des amis, des papas, des mamans, oncles, tantes, frères, sœurs, bref, des compatriotes, dont le seul péché est l’amour du ballon rond, continue de hanter notre conscience collective voilà une décennie.
C’est en réalité cette hécatombe qui n’est pas entrée dans l’Histoire comme il se doit, que tente de rendre mémorable par voie d’écriture, Pierrot Attiogbé. Témoin oculaire, le journaliste Pierrot Attiogbé, membre de la délégation togolaise en Sierra Leone, se saisit de sa plume pour immortaliser cette affre. Cet ouvrage à quintessence insoupçonnée, et au demeurant historique, reprend de manière saisissante et sélective, des témoignages de proches parents de quelques-unes des victimes.”
Un tunnel sans bout
Tout comme dans ses précédentes œuvres, Jeannette AHONSOU est toujours attachée dans Un tunnel sans bout, aux questions liées à la condition féminine.
DANSE AVEC MOI
Danse avec moi est sa première publication littéraire, un recueil de nouvelles et récits qui abordent des sujets comme la colonisation, l’immigration, la condition féminine… Surréalistes, absurdes ou d’une facture plus classique, ces histoires marient toujours l’humour à une écriture très originale et offrent un regard inattendu sur le monde occidental et africain.
Rêver de tout sauf d’immigrer clandestinement
Conscient que le développement de l’Afrique repose sur sa jeunesse qui pour des raisons connus de tous prennent la route de la migration au risque de leur vie, ce recueil se veut donc une aide à tous les jeunes qui par méconnaissance se voit obligé de quitter leur pays pour un monde meilleur.
SASSOU OU LES REVERS DU DESTIN
C’est l’histoire de toute personne embarquée dans la vie d’une société humaine faite de tragédie, de jalousie, de suspicion, qui lui réserve bien des surprises.
Sur les routes sanglantes de l’exil
Ce roman nous mène dans les tristes réalités de la guerre qui constitue la vie en amont des réfugiés. Il ne s’agit pas seulement des crépitements de balles mais surtout d’une histoire d’amour pleine d’émotions, de larmes de joie et de peine et entrecoupé de suspens qui se vit d’abord dans un pays noyé dans la guerre et ensuite sur une terre d’asile.
Les marmailleurs
L’aiguille de la montre indiquait vingt-deux heures quinze. Couché dans son lit, il revoyait en boucle, le film de la journée, en particulier, la séquence de son arrestation. Deux jours avant les épreuves, les parents d’élèves défilaient sous ses yeux. Il finit par tendre la main. Un cas, deux, trois, quatre, dix, vingt avaient déposé une enveloppe. Gagné par l’ivresse du gain facile, il avait manqué d’attention.
La plus belle maman
Un événement inédit : la Mairie lance le concours de la plus belle maman du village. Le petit Cossi y inscrit sa mère. Celle-ci, consciente de sa laideur physique, refuse d’y prendre part. Mais l’enfant, convaincu que sa mère est la plus belle de toutes les mamans du village, réussit à lui faire changer d’avis. Et le miracle se produit.
« La plus belle maman » est la célébration de la beauté du cœur, un réquisitoire contre l’intolérance et un plaidoyer en faveur des exclus et des mal-aimés de la société.
AU COMMENCEMENT ETAIT LE GLAIVE
Au cœur oublié de l’Afrique, en lisière des grands fleuves, des déserts infinis, des volcans mal éteints, Hamouris et Bamounas fourbissent leurs glaives. Ennemis depuis le commencement, le peuple de la cité et la tribu des forêts sont prêts, cette fois, à s’exterminer. Sans pitié. Sans limite. Sans repentir. Dans l’ivresse génocidaire. Le mal est-il inévitable dans l’histoire ? L’espérance est-elle condamnée au silence ? Et le seul sacrifice des femmes peut-il racheter la folie des hommes ? Sur fond de mânes des ancêtres et de chiens de guerre, de filles gazelles et de sorciers maudits, d’amours telluriques et de rires sanglants, c’est tout un continent que chante Edem KODJO.
Charnel, incantatoire, voici un roman-univers en forme de parabole implacable sur le temps présent.
A mal d’amour, lasse
»A mal d’amour, lasse » évoque les nombreux ressentiments de la femme, surtout dans les sociétés traditionnelles africaines où perdure encore la conception selon laquelle celle-ci n’a de rôle à jouer qu’au foyer. Il nous fait surtout vivre les nombreux sacrifices qu’elles sont prêtes à consentir – bien souvent par amour – dans le silence de la douleur, au nom de la famille, des enfants et plus encore, des valeurs sociétales.
Condamnés à ne jamais naître
En partant d’une confession fictive imputée à un médecin condamné par la justice de son pays pour un fait pénal, l’auteur fait une incursion dans le domaine gynéco-obstétrique qui n’est pas le sien mais qu’il semble maîtriser grâce à des recherches. Les résultats de ses investigations sont exposés ici sous la forme d’une confession de quinze années d’expérience dans la pratique abortive.
Erreur fatale
« J’ai été jugée et condamnée à dix ans de prison pour un crime que je n’avais pas commis. La nature me faisait sûrement payer mes crimes passés pour lesquels j’avais échappé à toute poursuite. J’en paye le prix fort. Du fond de ma cellule, je prie pour ma mère même si je lui en veux toujours. Je prie pour elle car je sais que depuis mon arrestation elle ne cesse de pleurer. Au procès, chaque fois que je tournais mon regard vers elle, du bout des lèvres, elle me murmurait: »je te demande pardon, Mira ». »