Créé sous l’égide de l’UNESCO en 1948, le Conseil international des archives célèbre ses 75 ans d’existence en juin 2023. Cette organisation internationale basée sur la loi française de 1901 et ayant son siège à Paris, a pour but essentiel la promotion de la préservation et de l’accès aux archives dans le monde entier au moyen de la coopération internationale. En travaillant à l’amélioration de la gestion des archives, cette institution contribue aussi bien à la sauvegarde et à l’enrichissement de la mémoire mondiale ainsi qu’à une meilleure communication et au respect de la diversité culturelle entre les peuples. Bien que valorisateur des archives qui sont à la fois un « arsenal de l’administration » et un « grenier de l’histoire » selon les termes de son second président le chartiste Charles Braibant, le Conseil international des archives ne dispose pas lui-même d’un ouvrage dédié à son histoire par ses archives. Cette étude portant sur les rapports entre l’Afrique et cette institution constitue ainsi une contribution à l’écriture de l’histoire du Conseil international des archives et de celle des archives africaines.
DE KECSKEMÉTI À SELES : L’AFRIQUE AU CONSEIL INTERNATIONAL DES ARCHIVES
5.000 CFA
Créé sous l’égide de l’UNESCO en 1948, le Conseil international des archives célèbre ses 75 ans d’existence en juin 2023. Cette organisation internationale basée sur la loi française de 1901 et ayant son siège à Paris, a pour but essentiel la promotion de la préservation et de l’accès aux archives dans le monde entier au moyen de la coopération internationale…
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…En publiant cette cuvre à vocation epistemologique, l’auteur jette les bases du méta-journalismes togolais qui selon le Directeur du Centre d’expertise et de recherche africain sur les médias et la communication (CERAM), Serge Théophile BALIMA, « semble être le seul moven de garantir un avenir prometteur au journalisme dans nos pays en processus démocratique ». C’est ma foi, la presse togolaise ne sauvera sa crédibilité mise à mal que si, comme le fait cet auteur, s’allument intermittemment de puissants projecteurs sur les distorsions qu’elle inflige à la réalité. »
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« Un journaliste qui ne vit pas de son job est facile à corrompre… Le journaliste n’a pas de statut au Togo. En l’absence de convention collective, les journalistes sont exploités à fond par des patrons de presse… »
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Mal entouré, Shéyi a été pris parfois dans ces cyclones qui ont grignoté son capital-sympathie au sein de l’opinion qui a du mal à décrypter les coutures de sa personnalité, si volatile, imprévisible, mais en même temps, séduisante. Paradoxes, avions-nous dit !
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GUIDE PRATIQUE A L’USAGE DU CORPS DIPLOMATIQUE, CONSULAIRE, ET DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES ACCREDITES AU TOGO
« Il importe de souligner également que les bénéficiaires des privilèges et immunités diplomatiques sont, pour leur part, tenus au strict respect des lois et règlements en vigueur au Togo selon l’esprit des dispositions pertinentes de l’article 41 de la convention de Vienne de 1961 sur les relations diplomatiques.
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Essai de réflexion sur les idéologies et les pratiques politiques en Afrique, cet ouvrage est constitué d’une série d’articles et d’entretiens que l’auteur a consacrés à des chercheurs africains renommés – dont certains, comme Laurent Gbagbo et Mamadou Koulibaly deviendront aussi des acteurs politiques. Ces penseurs ont en commun d’avoir abordé les défis de notre continent et formulé des propositions pour les affronter, du point de vue de la philosophie, de l’histoire, ainsi que des autres sciences humaines et sociales.
L’ouvrage part de stimulants débats, à l’Université de Dakar, autour de l’œuvre et avec Cheikh Anta Diop, sur la réappropriation critique par l’Afrique de l’héritage de l’Egypte pharaonique. Il examine ensuite la pratique des idéologies marxistes, socialistes et libérales. Enfin, il analyse les difficultés de l’Afrique à sortir d’une démocratie buissonnière que l’auteur définit comme « une vie politique en trompe-l’œil qui consiste à ruser avec les principes de la démocratie, à se parer des signes extérieurs de ce système politique (multipartisme, élections pluralistes plus ou moins régulières… ), tout en maintenant un état d’esprit et des pratiques instituant en réalité, la confiscation, par une minorité, du pouvoir et des avantages indus qui en sont tirés. »
Fictions africaines et écriture de démesure
Les fictions africaines, dans le cas de cette analyse, sont un ensemble de quelques œuvres africaines engendrées par le fait colonial, les faits sociaux d’après la colonisation ; bref la vie quotidienne des sociétés africaines. Les auteurs de ces fictions, dans leur démarche créatrice, se devaient de respecter les normes et les idéologies du centre ou de la métropole puisque c’était l’ère du conformisme adopté par certains précurseurs du roman africain tels que Félix Couchoro, Paul Hazoumé, David Ananou et bien d’autres. La notion de démesure reste intrinsèquement liée à la quête de liberté, de l’identité sinon de l’authenticité des valeurs africaines. La démesure se manifeste de diverses manières dans les fictions africaines : elle est synonyme de décentrement, à tous égards, de l’ancienne métropole qui n’est plus référentielle et dont la langue, le français hexagonal aussi rigide, ne favorise pas la traduction véritable des réalités africaines.
A cet effet, les œuvres ne peuvent être comprises qu’à travers l’exploitation de certains outils d’analyse dont se sert le lecteur.
CEDEAO, du libre-échange au marché commun…
L’intégration par le marché qui caractérise les regroupements régionaux africains, est-elle véritablement porteuse de croissance pour tous les Etats parties? En effet, le déséquilibre économique notoire entre les pays, met en doute l’aptitude des Etats faibles à tirer pleinement profit de leur appartenance à une communauté de marché semblable à la CEDEAO.
Le Niger, qui est un grand militant de la CEDEAO, a malheureusement peu de dotations factorielles, ce qui amenuise ses chances dans les échanges intracommunautaires.
Les thématiques développées dans ce livre, présentent les opportunités commerciales du Niger du fait de son appartenance à cette institution, les menaces auxquelles il fait face et les pistes d’amélioration de son commerce.