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DEVOIR DE DIGIGA

3.500 CFA

Synopsie:

À la lecture de l’œuvre, Devoir de Didiga n’est pas un simple hommage au fondateur ivoirien du genre. Il est surtout utile dans la construction d’une œuvre écrite, c’est-à-dire, ici, dans l’avènement d’une « littérature » – au sens littéral. (…)Ceci explique en particulier le découpage de la pièce de Clément qui reprend tous les codes antiques du genre, du prologue à l’épilogue, l’alternance entre chant et dialogue, l’accompagnement des héros par un chœur, etc., (…)Cependant, par cette construction, il ouvre la possibilité de lire et de comprendre le genre du didiga comme un moment du chaos du langage dans la société (bété), ou, plus exactement, comme un moment où se forge précisément un langage (et peut-être même une certaine vision) du monde.

Catégorie :
Description

À la lecture de l’œuvre, Devoir de Didiga n’est pas un simple hommage au fondateur ivoirien du genre. Il est surtout utile dans la construction d’une œuvre écrite, c’est-à-dire, ici, dans l’avènement d’une « littérature » – au sens littéral. (…)Ceci explique en particulier le découpage de la pièce de Clément qui reprend tous les codes antiques du genre, du prologue à l’épilogue, l’alternance entre chant et dialogue, l’accompagnement des héros par un chœur, etc., (…)Cependant, par cette construction, il ouvre la possibilité de lire et de comprendre le genre du didiga comme un moment du chaos du langage dans la société (bété), ou, plus exactement, comme un moment où se forge précisément un langage (et peut-être même une certaine vision) du monde.

Biographie de l'auteur

Octave Clément DEHO alias Oc’Zakpa DEHO enseigne les Lettres Modernes à la Scuola per l'Europa di Parma, un établissement qui fait partie du système des Écoles européennes. À travers la pièce DEVOIR DE DIDIGA, il rend hommage à un incontournable « ancêtre » littéraire : Bottey ZADI ZAOUROU, Syndicaliste, Universitaire et ancien ministre de la Culture du gouvernement de son pays, la Côte d'Ivoire. Clément Octave vient sur le podium, non sans avoir aiguisé et maîtrisé le genre qu'il a hérité de celui que l'AECI a honoré avec la création en 2014, du Grand Prix littéraire Bottey ZADI ZAOUROU en trois sections : Poésie, Nouvelle et Théâtre. Trois ans plus tard, à Yacolidabouo, dans le village natal du maître Bottey, à la faveur du tout Premier Festival du Didiga, un Kita et un Bissa seront octroyés à Octave Clément DEHO en tant que Lauréat du Prix dans la section théâtre. Ces distinctions seront remises à la présence d'Eugène ZADI, frère cadet du Bottey, et Commissaire Général du Festival, des mains de l'immense Sery Bailly, au nom de Josué Guébo, initiateur du Prix au moment où il était le Président de l'Association des Écrivains de Côte d'Ivoire (AECI).

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