Les maux qui minent le secteur médical sont multiples et multiformes et ont pour noms : les faux diplômes, l’incompétence, les mauvais soins, la vente frauduleuse des médicaments périmées ou non indiqués, la redirection des patients vers des cliniques où l’on gagne des commissions, la sélection des patients selon qu’ils disposent de moyens, la corruption, l’impunité et la gestion administrative très calamiteuse des centres de santé publics pour me borner à ces quelques exemples. …Le comble est que tout administrateur qui s’engage à lutter contre ces failles fait l’objet de médisances, de maltraitances et d’affectations punitives. Ce qui laisse croire que les personnes qui devaient palier à ces défis en sont quelquefois les véritables promoteurs.
Tchila, l’infirmière véreuse
3.500 CFA
« Les soins infirmiers, cette noble fonction qu’avaient exercée nos prédécesseurs avec fierté, sont devenus aujourd’hui un métier de tout le monde. C’était un métier de valeur dans les
Safiou ATE est né à Koussountou dans la préfecture de Tchamba le 13 novembre 1979 et est de nationalité togolaise. Après ses études primaires et secondaires à Kaboli, il obtint son baccalauréat deuxième partie au lycée de Zomayi (Kpalimé) en 2004. Il obtint en 2007, son diplôme d'Infirmier d'Etat à l'Ecole Nationale des Auxiliaires Médicaux (ENAM) de Lomé, en 2013 la Maîtrise en Sociologie de Développement Communautaire à l'Université de Kara et en 2016, le MBA en Gestion de Projets au Centre Africain des Etudes Supérieures en Gestion (CESAG) de Dakar au Sénégal. Il est actuellement Responsable de l'infirmerie de l'Assemblée nationale togolaise. Il offre au public, son premier ouvrage : Les yeux de l'observateur ou les réalités dans les centres de santé au Togo.
Œuvre similaires
Sexe faible, maillon fort
“Une gêne, mêlée à de l’empathie, qui rappelle l’urgence d’agir pour ces femmes. La vérité de ce livre, c’est qu’il raconte une histoire vraie, donc proche et dont le scénario s’écrit sous nos yeux dans l’indifférence générale. L’ignorance de la maladie dans l’opinion publique amplifie vraisemblablement l’insensibilité générale à la douleur de ces femmes. Et pourtant, la fistule obstétricale fait des ravages dans nos sociétés africaines. Elle semble une maladie des pauvres et des pays pauvres parce qu’elle a disparu sous les latitudes des pays riches et développés…”
Pernicieuse révélation
Orpheline de père et de mère, Gisela a toujours vécu avec sa tante. Friande des TIC, elle connut son premier amour via internet. L’expérience a été terrible, puisqu’elle tomba sur un séducteur narcissique, cruel et mythomane qui ne cherchait qu’à batifoler. L’épreuve n’en resta pas là pour notre jeune orpheline et la vie lui révèlera sa vraie couleur au fil des pages, entre tragédie, blessure et trahison. Gisela, avec persévérance, tentera tant bien que mal de s’en sortir.
Cette histoire, tourne en dérision les mœurs de cœur, relatives aux relations à distance en ce qui concerne nos frères africains, vivant en Occident et nos jeunes sœurs résidant encore au pays.
Mon nom est Horizon
Un garçon africain de 11 ans découvre dans un livre dont il tait le titre et le contenu, sa passion pour la langue française. Il ressent alors une vocation à aller »faire France », c’est-à-dire : enrichir cette langue sur sa propre terre, en signe de reconnaissance, avec les richesses de sa langue maternelle (le Mina) et de sa culture togolaise. Le voilà alors embarqué dans une aventure chaotique où il découvrira les hauts et les bas de l’esprit humain, dans la quête et la conquête du mot du siècle : le mot censé résumer le 21ième siècle tout en lui fixant son défi. Quel est ce mot ? Quel est ce mot dont la quête le ramène sur sa terre natale pour le reconnecter avec l’esprit de ses aïeux ? Comment résume-t-il notre ère ?
L’œil des coulisses
Avec L’œil des coulisses, que votre jubilation soit pure, exaltante, pérenne et accoucheuse de bonnes idées pour que les femmes soient « femme et mères et non objets de jouissance », pour que si les femmes « refusent de faire des hommes, des hommes vraiment responsables, que les hommes apprennent aux femmes à être femmes » afin que le monde ait un autre visage et présente un autre cadre où il fait bon vivre
La mauvaise foi ne se présume pas
La société contemporaine met en scène des acteurs plus ou moins honnêtes ; dans ce contexte, les plus malins pour ne pas dire les plus forts, tirent souvent leur épingle du jeu. Mais ce n’est pas dans tous les cas que le plus faible perd. La situation se retourne des fois contre les mafieux. D’autres prennent leur mal en patience, et transforment une situation qui leur a été défavorable en bonheur. C’est ainsi que contre les adversités et contre vent et marrées, des hommes tirent le meilleur des pires situations. Toutes ces situations, l’auteur qui n’est pas à son coup d’essai, les mets en exergue dans ces nouvelles qui ont des titres évocateurs : les voies de Dieu sont impénétrables, on ne vend pas la peau d’un ours avant de l’avoir tué, la démocratie du plus fort est toujours la meilleure comme le chante Alpha BLONDY, mauvaise foi ? Et le réactionnaire. A travers ces textes, l’auteur essaie de vous faire voyager à travers son époque. Ce qui nous fait l’appeler, témoin de son époque.
REGENERATION
Frappé par la poliomyélite à l’âge de cinq ans, l’auteur perd l’usage de ses jambes. Contre la nature et contre la prédiction des hommes, à force de courage et de privations, il a su surmonter les entraves du handicap pour atteindre son objectif, celui d’être utile à la société.
Les ronces de l’amour
Dans un style simple et facile à lire, Steve BODJONA nous fait voyager dans une histoire de cœur au travers de laquelle il peint certaines réalités de nos sociétés et conscientise la jeunesse sur les enjeux de son épanouissement.
LE JUSTE PRIX
Traitant de thèmes variés, amour et faits de société entre autres, elle a publié en 2013 chez L’Harmattan à Paris, son premier roman ‘’Rose est la couronne d’épines’’. Elle nous revient avec ‘’Le juste prix’’, fruit d’une mouture du premier roman.
SASSOU OU LES REVERS DU DESTIN
C’est l’histoire de toute personne embarquée dans la vie d’une société humaine faite de tragédie, de jalousie, de suspicion, qui lui réserve bien des surprises.
Lungi, le récit d’une tragédie
“L’un des plus tristes et douloureux évènements sur le parcours de notre football, ce tragique crash d’hélicoptère qui a anéanti dans l’effroi et pour toujours à Lungi, des parents, des amis, des papas, des mamans, oncles, tantes, frères, sœurs, bref, des compatriotes, dont le seul péché est l’amour du ballon rond, continue de hanter notre conscience collective voilà une décennie.
C’est en réalité cette hécatombe qui n’est pas entrée dans l’Histoire comme il se doit, que tente de rendre mémorable par voie d’écriture, Pierrot Attiogbé. Témoin oculaire, le journaliste Pierrot Attiogbé, membre de la délégation togolaise en Sierra Leone, se saisit de sa plume pour immortaliser cette affre. Cet ouvrage à quintessence insoupçonnée, et au demeurant historique, reprend de manière saisissante et sélective, des témoignages de proches parents de quelques-unes des victimes.”
Vas-y voir
Dans ce livre qui s’ouvre sur un voyage passionnant au petit village appelé Gnignon Copé, pays des rêves, Komla AGBENOSSI expose l’histoire de sa vie. Le lecteur s’y voit entraîné dans les montagnes russes d’un voyage émotionnel avec des hauts et des bas du parcours de vie de l’auteur. Ce récit autobiographique lève donc le voile sur les souvenirs d’enfance de l’auteur et le chemin ardu qu’il a dû emprunter jusqu’à l’obtention de ses diplômes. C’est le film des péripéties qui ont jalonné le périple d’un immigrant, avec des détails sur les événements qui ont changé sa vie, de Tchagba à Lomé à l’Aéroport John Fitzgerald Kennedy à New York.
Corneille AGBENOSSI, dans l’impossibilité d’échapper à son passé après son refuge en Amérique, vient partager avec ses compatriotes, immigrés ou restés au pays, les expériences de l’incroyable histoire d’un homme qui a surmonté les vicissitudes de la vie à travers un combat perpétuel pour la réussite.
AU COMMENCEMENT ETAIT LE GLAIVE
Au cœur oublié de l’Afrique, en lisière des grands fleuves, des déserts infinis, des volcans mal éteints, Hamouris et Bamounas fourbissent leurs glaives. Ennemis depuis le commencement, le peuple de la cité et la tribu des forêts sont prêts, cette fois, à s’exterminer. Sans pitié. Sans limite. Sans repentir. Dans l’ivresse génocidaire. Le mal est-il inévitable dans l’histoire ? L’espérance est-elle condamnée au silence ? Et le seul sacrifice des femmes peut-il racheter la folie des hommes ? Sur fond de mânes des ancêtres et de chiens de guerre, de filles gazelles et de sorciers maudits, d’amours telluriques et de rires sanglants, c’est tout un continent que chante Edem KODJO.
Charnel, incantatoire, voici un roman-univers en forme de parabole implacable sur le temps présent.