Sarafina ou un destin brisé
3.000 CFA
C’est le récit d’une fin horrible et navrante de l’histoire de Sarafina qui rouvre le débat sur le dialogue entre parents et adolescents face aux aventures amoureuses de ces derniers qui débouchent souvent sur des drames inattendus.
Moïse O. Inandjo est Administrateur de Liaison avec le Gouvernement au bureau du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés au Tchad. Jeune écrivain prolifique, engagé et très reconnu, il est auteur d’une dizaine d’ouvrages parus entre 2006 et 2019 ā travers lesquels il s'insurge contre les fléaux qui minent la société. Fidèle à sa logique de passer par la littérature pour éveiller tant soit peu les consciences des populations sur les problèmes récurrents de notre société, il a à son actif, dix (10) ouvrages.
Œuvre similaires
SASSOU OU LES REVERS DU DESTIN
C’est l’histoire de toute personne embarquée dans la vie d’une société humaine faite de tragédie, de jalousie, de suspicion, qui lui réserve bien des surprises.
Le sandwich de Britney Spears
Le Sandwich de Britney est un recueil de quatre nouvelles dont vous ne sortirez pas indemne : humour, profondeur et lucidité, les marques de fabrique de l’inventeur de TiBrava, territoire de fictions.
Sexe faible, maillon fort
“Une gêne, mêlée à de l’empathie, qui rappelle l’urgence d’agir pour ces femmes. La vérité de ce livre, c’est qu’il raconte une histoire vraie, donc proche et dont le scénario s’écrit sous nos yeux dans l’indifférence générale. L’ignorance de la maladie dans l’opinion publique amplifie vraisemblablement l’insensibilité générale à la douleur de ces femmes. Et pourtant, la fistule obstétricale fait des ravages dans nos sociétés africaines. Elle semble une maladie des pauvres et des pays pauvres parce qu’elle a disparu sous les latitudes des pays riches et développés…”
La mauvaise foi ne se présume pas
La société contemporaine met en scène des acteurs plus ou moins honnêtes ; dans ce contexte, les plus malins pour ne pas dire les plus forts, tirent souvent leur épingle du jeu. Mais ce n’est pas dans tous les cas que le plus faible perd. La situation se retourne des fois contre les mafieux. D’autres prennent leur mal en patience, et transforment une situation qui leur a été défavorable en bonheur. C’est ainsi que contre les adversités et contre vent et marrées, des hommes tirent le meilleur des pires situations. Toutes ces situations, l’auteur qui n’est pas à son coup d’essai, les mets en exergue dans ces nouvelles qui ont des titres évocateurs : les voies de Dieu sont impénétrables, on ne vend pas la peau d’un ours avant de l’avoir tué, la démocratie du plus fort est toujours la meilleure comme le chante Alpha BLONDY, mauvaise foi ? Et le réactionnaire. A travers ces textes, l’auteur essaie de vous faire voyager à travers son époque. Ce qui nous fait l’appeler, témoin de son époque.
A mal d’amour, lasse
»A mal d’amour, lasse » évoque les nombreux ressentiments de la femme, surtout dans les sociétés traditionnelles africaines où perdure encore la conception selon laquelle celle-ci n’a de rôle à jouer qu’au foyer. Il nous fait surtout vivre les nombreux sacrifices qu’elles sont prêtes à consentir – bien souvent par amour – dans le silence de la douleur, au nom de la famille, des enfants et plus encore, des valeurs sociétales.
Pernicieuse révélation
Orpheline de père et de mère, Gisela a toujours vécu avec sa tante. Friande des TIC, elle connut son premier amour via internet. L’expérience a été terrible, puisqu’elle tomba sur un séducteur narcissique, cruel et mythomane qui ne cherchait qu’à batifoler. L’épreuve n’en resta pas là pour notre jeune orpheline et la vie lui révèlera sa vraie couleur au fil des pages, entre tragédie, blessure et trahison. Gisela, avec persévérance, tentera tant bien que mal de s’en sortir.
Cette histoire, tourne en dérision les mœurs de cœur, relatives aux relations à distance en ce qui concerne nos frères africains, vivant en Occident et nos jeunes sœurs résidant encore au pays.
L’amour…ce doux vertige
L’amour, ce doux vertige est un recueil de six nouvelles liées par une même thématique. Macaire ETTY, d’une plume libérée, exploite l’amour sous toutes ses facettes. Si l’amour ouvre le chemin du bonheur en propulsant l’élu au statut de héros, il est aussi le lieu du tourment et du doute. Jalousie, passion, haine, plénitude s’entremêlent pour faire du royaume de Cupidon, un champ de tourbillons et de vertiges. Les personnages mis en situation ici, comme des possédés, se laissent conduire par leur cœur dans des aventures dont l’issue est souvent incertaine. Avec délicatesse, l’artiste offre au lecteur, un moment unique de délectation.
Les marmailleurs
L’aiguille de la montre indiquait vingt-deux heures quinze. Couché dans son lit, il revoyait en boucle, le film de la journée, en particulier, la séquence de son arrestation. Deux jours avant les épreuves, les parents d’élèves défilaient sous ses yeux. Il finit par tendre la main. Un cas, deux, trois, quatre, dix, vingt avaient déposé une enveloppe. Gagné par l’ivresse du gain facile, il avait manqué d’attention.
AU COMMENCEMENT ETAIT LE GLAIVE
Au cœur oublié de l’Afrique, en lisière des grands fleuves, des déserts infinis, des volcans mal éteints, Hamouris et Bamounas fourbissent leurs glaives. Ennemis depuis le commencement, le peuple de la cité et la tribu des forêts sont prêts, cette fois, à s’exterminer. Sans pitié. Sans limite. Sans repentir. Dans l’ivresse génocidaire. Le mal est-il inévitable dans l’histoire ? L’espérance est-elle condamnée au silence ? Et le seul sacrifice des femmes peut-il racheter la folie des hommes ? Sur fond de mânes des ancêtres et de chiens de guerre, de filles gazelles et de sorciers maudits, d’amours telluriques et de rires sanglants, c’est tout un continent que chante Edem KODJO.
Charnel, incantatoire, voici un roman-univers en forme de parabole implacable sur le temps présent.
LE JUSTE PRIX
Traitant de thèmes variés, amour et faits de société entre autres, elle a publié en 2013 chez L’Harmattan à Paris, son premier roman ‘’Rose est la couronne d’épines’’. Elle nous revient avec ‘’Le juste prix’’, fruit d’une mouture du premier roman.
Vas-y voir
Dans ce livre qui s’ouvre sur un voyage passionnant au petit village appelé Gnignon Copé, pays des rêves, Komla AGBENOSSI expose l’histoire de sa vie. Le lecteur s’y voit entraîné dans les montagnes russes d’un voyage émotionnel avec des hauts et des bas du parcours de vie de l’auteur. Ce récit autobiographique lève donc le voile sur les souvenirs d’enfance de l’auteur et le chemin ardu qu’il a dû emprunter jusqu’à l’obtention de ses diplômes. C’est le film des péripéties qui ont jalonné le périple d’un immigrant, avec des détails sur les événements qui ont changé sa vie, de Tchagba à Lomé à l’Aéroport John Fitzgerald Kennedy à New York.
Corneille AGBENOSSI, dans l’impossibilité d’échapper à son passé après son refuge en Amérique, vient partager avec ses compatriotes, immigrés ou restés au pays, les expériences de l’incroyable histoire d’un homme qui a surmonté les vicissitudes de la vie à travers un combat perpétuel pour la réussite.
Nourah, la martyre de l’adolescence
Nourah en tombera enceinte. Mais comment en parler à ses parents ? Comment Cédric réagira-t-il ? Pour quelle raison publiera-t-il les photos nues de sa bien-aimée sur les réseaux sociaux ? Qu’est-ce qui obligera l’adolescente à décider de se suicider ? Bref, il s’agit d’une aventure à plusieurs équations qui permet de mettre en exergue les défis liés à l’âge de la puberté, l’impact du faible dialogue entre parents et adolescents autour de la sexualité ainsi que l’influence des réseaux sociaux sur leur éducation scolaire. Cet ouvrage illustré est écrit dans un style simple et accessible à tous dont une partie est consacrée à dix questions importantes sur l’éducation sexuelle. Il est vivement recommandé aux adolescents, aux jeunes, aux parents et aux enseignants.