Des espoirs abandonnés
3.000 CFA
C’est le récit émouvant de la vie des enfants abandonnés dès leur naissance et qui, récupérés parfois au hasard, font l’amère expérience de vivre dans des centres d’accueil.
Moïse O. Inandjo
Moïse O. Inandjo est Administrateur de Liaison avec le Gouvernement au bureau du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés au Tchad. Jeune écrivain prolifique, engagé et très reconnu, il est auteur d’une dizaine d’ouvrages parus entre 2006 et 2019 ā travers lesquels il s'insurge contre les fléaux qui minent la société. Fidèle à sa logique de passer par la littérature pour éveiller tant soit peu les consciences des populations sur les problèmes récurrents de notre société, il a à son actif, dix (10) ouvrages.
Œuvre similaires
Les secrets de Paul AHYI
Dans cet ouvrage, VONDOLY rend hommage à l’auteur du drapeau togolais et Professeur émérite d’arts plastiques : Paul AHYI, un grand homme qu’il a côtoyé. Ces poèmes sont un témoignage vivant de la grandeur de cet homme qui demeure une icône incontestable des arts plastiques au Togo, en Afrique, dans le monde où ses œuvres ornent villes et immeubles.
Kodzo Adzewoda VONDOLY
Les Équato-guinéennes
Koffigoh hommage au président équato-guinéen Theodoro Obiang NGuema Mbassogo, pour le sacrifice consenti au nom de la Guinée Équatoriale, pour abriter cette fête du football africain, au moment où le Royaume du Maroc avait désisté à cause de l’épidémie du virus Ébola qui faisait des ravages dans certains états d’Afrique de l’Ouest.
Joseph Kokou Koffigoh
Amours conçues
Amours conçues est un recueil de poèmes dans lequel l’auteur exprime ses affections indéfectibles quant aux aventures amoureuses: ‘’L’Amour enseigne pour l’avenir, et a plusieurs renaissances tout comme le soleil ».
Rosny Le Sage SOUAGA
Hymne à la Nation
Ce recueil est un appel à la réconciliation, à un sursaut d’orgueil pour la construction de la patrie et donc à une renaissance et à un renouveau de l’esprit de l’indépendance. Ce désir de Steve conclut le recueil mais la poésie n’est malheureusement que rêve face à la dure réalité et aux intérêts égoïstes de certains dirigeants, mais aussi de nombreux citoyens. L’« Hymne à la nation » serait-il vain comme une épée dans l’eau ? Seule l’histoire nous donnera l’occasion de l’apprécier.
Steve BODJONA
Sanglots et espoirs
Le message de ce recueil est protéiforme. Il exclut la langue de bois et démontre de ce qu’un poète pense et s’exprime avec le cœur. Ce recueil confirme aussi que le cœur ne trompe pas.
Il bat au rythme de la frénésie et de l’émotion. Ernest mesurait assurément ses propos lorsqu’il dit à son préfacier : « Dis-le-moi comme une poésie et je vivrai sa symphonie »
Au cœur de la CAN
En plus des péripéties d’avant compétition, le retour mouvementé des Eperviers de la CAN 2013 a également inspiré l’auteur. L’on retient de cet ouvrage que le radeau du football peut être aussi le sauveur du bateau africain.
Joseph Kokou Koffigoh
Les rêves suspendus
»Ai-je dit « beauté » ? C’est bien ce qui transparaît à travers ces vers ciselés de mains habiles, riches en thèmes fort variés, de rythmes à nous faire perdre haleine, de riches sonorités et d’abondantes images qui nous envoûtent…
Oui, j’ai lu BEAUTÉ ! Beauté, à travers la douleur et la rage, la mort et le chagrin, la solitude et la tristesse, l’engagement et la révolte, et aussi le rêve et l’évasion. J’ai surtout lu beauté à travers l’espoir, mieux, l’espérance de « vivre heureux pour une éternité. » »
Ernest Koffiga KAVEGE
Enseignant, écrivain
Salves d’Afrique
Steve BODJONA fait partie de la nouvelle génération de poètes africains partagée entre la désillusion d’un continent encore à la traîne malgré son jubilé d’or, et l’espérance qu’un soleil nouveau et plus prometteur viendra remplacer le “soleil des indépendances”…Il tire à la fois des coups de salves pour saluer une Afrique qu’il porte de “cœurs en cœur”, mais aussi la “sonnette d’alarme” pour réveiller les consciences qui dorment… Ce recueil est écrit dan un style direct qui le rend accessible à tout public.
Steve BODJONA
Météo politique
Météo politique est la première œuvre poétique de Lazare Koffi Koffi depuis son retour d’exil en fin janvier 2019 mais le septième de ses recueils de poèmes. Cette œuvre se distingue des six autres à la fois par sa structure et sa rythmique. En effet, s’il garde les accents prophétiques auxquels nous a habitués l’auteur dans presque toutes ses œuvres poétiques ainsi que la dénonciation des travers de la société ivoirienne, la mal gouvernance des dirigeants, l’exploitation et les calculs des impérialistes qui les soutiennent, sans oublier le « bloc » de ceux qui travaillent à tourner à leurs avantages, la longue « séquestration » en Europe du leader de son parti et le héros attendu de tous dans son pays, ce recueil de poème se présente dans sa structure comme un long discours poignant tel qu’on en trouve chez certains poètes ivoiriens actuels comme Macaire Etty, dans Mes saintes colères et sa rythmique est celle des jeunes slameurs qui allient musiques et paroles poétiques. Ce poème au long cours est un cri, pour interpeller et mettre à l’abri la Côte d’Ivoire des risques d’une nouvelle crise profonde si l’on s’entête à aller aux élections sans une réconciliation préalable.
Lazare KOFFI KOFFI
Je ne suis pas que négatif
Ce recueil est intéressant par l’originalité du style qui bouscule les codes d’écriture auxquels nous sommes habitués. On a comme l’impression que Madame Koutchoukalo TCHASSIM veut davantage redonner du sens à la poésie qui est création, découverte et révélation. La poésie togolaise retrouve un certain dynamisme depuis une décennie. Elle va naturellement s’enrichir de ce que je pressens comme une nouvelle école de style, dont l’initiative vient de Madame TCHASSIM.
Une éternité attend
Une éternité attend est sans doute le recueil le plus attendu de Maximilien AMEGEE. Ses prémices ont été dévoilées dès 2013 comme un tableau. Effacée parfois jusqu’à donner l’impression d’un oubli, cette formule singulière de l’auteur surgit de temps à autre comme une péroraison incantatoire.
Maximilien AMEGEE
Et Dieu pleura…
Le crime de la déconstruction sociétale, la mort et le destin de nos nations, voici ce qui arrache donc les pleurs à Dieu ! Il en est ainsi parce que d’une part, si la description de Dieu n’est point une affabulation et que Dieu est loin d’être un simple personnage de fiction littéraire, ce texte cadrerait avec cette vision réaliste indéniable. D’autre part, quand la poésie s’allie au politique par le canal de la foi religieuse, elle n’a jamais été aussi incisive et porteuse d’idéal. On voit donc dans la juxtaposition des mots, des pensées et réflexions qui structurent ce poème du Ministre Lazare Koffi Koffi, mais encore par la foi qui y est manifeste, autant de choses qui offrent cette approche si flagrante du réel -notre passé récent. C’est pourquoi, cette œuvre force nécessairement l’attention et enseigne une chose fondamentale : consentir à offrir généreusement aux autres notre version –pardon-, notre vision des faits au travers du regard de Dieu. Lazare Koffi Koffi fait de ce discours frontal, l’objet d’un art vivifiant mais aussi de sa foi en l’homme et en Dieu.