CEDEAO, du libre-échange au marché commun…
5.000 CFA
L’intégration par le marché qui caractérise les regroupements régionaux africains, est-elle véritablement porteuse de croissance pour tous les Etats parties? En effet, le déséquilibre économique notoire entre les pays, met en doute l’aptitude des Etats faibles à tirer pleinement profit de leur appartenance à une communauté de marché semblable à la CEDEAO.
Le Niger, qui est un grand militant de la CEDEAO, a malheureusement peu de dotations factorielles, ce qui amenuise ses chances dans les échanges intracommunautaires.
Les thématiques développées dans ce livre, présentent les opportunités commerciales du Niger du fait de son appartenance à cette institution, les menaces auxquelles il fait face et les pistes d’amélioration de son commerce.
Boukari DAN BOUGA est de nationalité nigérienne. Diplômé de grandes écoles africaines à savoir l'ENA d'Abidjan (Côte d'Ivoire), l'ESM de Casablanca (Maroc) et l'ENA de Niamey (Niger), il est Inspecteur Principal des Douanes. Ayant des compétences dans des domaines aussi riches que variés tels que l'audit des Systèmes Qualité, la gestion des entreprises et tout naturellement la douane, l'auteur est un analyste averti. Il est auteur de deux autres ouvrages.
Œuvre similaires
Emmanuel Adebayor la lumière
“Adébayor n’est certes pas le joueur le plus talentueux de l’histoire du football de son pays. Cependant, c’est une lapalissade, il aura contribué foncièrement à booster l’image de cette discipline et par ricochet, celle de son pays dans le landerneau sportif international ces dernières années. Il est, à n’en point douter, le meilleur support de communication de son pays.
Mal entouré, Shéyi a été pris parfois dans ces cyclones qui ont grignoté son capital-sympathie au sein de l’opinion qui a du mal à décrypter les coutures de sa personnalité, si volatile, imprévisible, mais en même temps, séduisante. Paradoxes, avions-nous dit !
Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, Emmanuel Adébayor est un joueur charmant lorsqu’il se décide à faire chavirer de plaisir exquis les aficionados, transis par ces sensations ineffables qui vous font nager dans l’azur. ”
Extrait de la préface de Hans K. MASRO,
Journaliste Sportif (Ex-BBC)
Le vodun ne fait pas rêver
« …Dans le fond, et au demeurant, la question sous-jacente à ce livre ne rejoint-elle pas la question fondamentale que pose l’esprit de l’athéisme que nous trouvons chez André Comte-Sponville et qui par ailleurs fut le thème de la récente conférence de carême à Notre Dame de Paris au cours de laquelle l’illustre et distingué conférencier Guillaume de Menthière invitait à démasquer les ombres et chasser les ténèbres, en essayant de répondre en notre âme et conscience à la question : « Allons-nous quelque part ? » et en l’occurrence, « allons-nous quelque part avec le vodun ? ». Œuvrer ainsi, c’est rendre service à ce que nous considérons comme un précieux héritage culturel du Bénin et de la diaspora noire en général.
Les « hommes de Dieu » dans la cité africaine
ntre les personnes qui souhaitent que les “hommes de Dieu” descendent dans l’arène politique et celles qui pensent que le rôle de ces derniers est strictement spirituel, l’auteur estime que, pour combattre la misère, l’injustice, l’oppression, la corruption, le néocolonialisme, etc., prêtres, pasteurs et imams ne sont pas obligés de militer dans des partis politiques ou d’exercer des charges publiques (député, maire, ministre ou président de la République). Pour lui, les “hommes de Dieu” peuvent contribuer à la stabilité et à la bonne marche de la Cité en dénonçant les discours et comportements susceptibles de porter atteinte au vivre-ensemble. Cela suppose qu’ils soient financièrement indépendants des hommes politiques qui n’aiment pas toujours être contredits ou interpellés sur leur gestion du bien commun.
Jean-Claude Djéréké montre ainsi que l’annonce de la Parole de Dieu et le prophétisme sont deux choses inséparables et que, pour parler valablement et sérieusement d’amour et de paix, il est urgent et nécessaire de s’attaquer aux mensonges, aux injustices économiques, sociales ou politiques qui chaque jour tirent nos pays d’Afrique francophone vers le bas.
Littérature togolaise : discours et figures d’autorité
Ce recueil de quinze articles consacré aux écrivains togolais et aux discours qui leur confèrent une autorité littéraire se veut un cadre de concertation préalable sur les contours et les modalités d’une « réécriture » de l’histoire de notre littérature…
La cartographie de cette littérature reste et demeure un chantier ouvert qui n’attend que l’œuvre des spécialistes pour dévoiler son nouveau champ littéraire et artistique. Elle ne peut s’écrire, à notre avis, que si, préalablement, elle est référée à son histoire. Or cette histoire, mal connue, est souvent racontée en »lambeaux » ou par chapitres quelquefois inachevés. Écrire l’histoire de la littérature togolaise avec une nomenclature précise des auteurs à travers le temps, et établir une typologie rigoureuse des discours qui ont marqué et enrichi les grandes étapes de son évolution, fut l’enjeu ultime à l’origine de la présente initiative. Quelle est l’identité réelle de la littérature togolaise ? Peut-elle se prévaloir aujourd’hui d’une quelconque fécondité ? Cinquante ans après l’indépendance de la nation togolaise, en quoi a-t-elle pu contribuer à l’émancipation de l’écriture narrative ou métadiscursive ?
Les contributions, dans l’ensemble, proposent des pistes de recherche qui s’articulent autour de trois axes, à savoir :
- la littérature togolaise, des origines à nos jours : historiographie et nomenclature ;
- les innovations esthétiques du nouveau champ littéraire et artistique togolais ;
- les perspectives pour une utilisation pédagogique de la littérature togolaise.
Littérature togolaise, discours et figures d’autorité constitue un précieux outil de travail tant pour les universitaires que pour les écrivains eux-mêmes. Il contribuera, nous l’espérons, à une meilleure connaissance de notre littérature…
LES SECRETS DE LA REUSSITE DE LA VIE
« En effet, ce que nous désirons n’est pas nécessairement de quoi nous avons besoin. Le désir d’un homme peut être provoqué par un facteur externe et frivole qui n’est pas nécessairement en phase avec l’appel de la personne. Le désir est souvent passager et nous camouffle la vision surtout lorsqu’il est en déphasage avec cette dernière. Ce n’est qu’après avoir satisfait un désir que l’on reconnaît qu’il diffère de notre besoin. Combien de fois n’avons-nous pas cru que c’est le manque d’argent qui nous met dans la situation dans laquelle nous sommes ? Que c’est le manque de diplômes qui nous ralentit? Que c’est le manque d’enfants qui nous rend la vie difficile ? »
La vérité autour de la COVID-19
A travers ce livre, l’auteur analyse la crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19 dont le monde entier paie un lourd tribu avec plus d’un million de contaminés et des milliers de morts. La vérité autour de la Covid-19 vient à point nommé, puisqu’il essaie de faire la lumière sur certains points essentiels restés cachés au public. C’est quoi la Covid-19 ? Quelle est son origine ? Comment se manifeste-t-elle ? Quels sont ses impacts sur l’évolution du monde ? Quelles sont les actions qui doivent être menées pour la vaincre ? Quelle place le monde réserve-t-il à Dieu le créateur de l’humanité et le plus grand guérisseur, dans cette lutte contre le virus ? Autant d’interrogations auxquelles tente de trouver des réponses, Marthurin OBIANG NZUE pour qui la première référence dans la réalisation du présent ouvrage est la Sainte Bible.
Politique étrangère du Togo : une décennie d’offensive diplomatique
« Le présent ouvrage est l’un des rares livres essentiellement consacrées à la politique étrangère du Togo. Il est d’autant plus intéressant qu’il est le produit d’un diplomate togolais qui partage ses propres diagnostics des orientations qui gouvernent sa profession. L’exercice peut être comparé à une espèce d’auto-écriture ou d’« herméneutique de soi » qui permet d’éclairer quiconque s’intéresse au Togo et à sa politique étrangère. Le soi ricourien est un soi capable et agissant, et Steve Bodjona a bien voulu joindre l’écriture à son travail quotidien de diplomate en rédigeant cet ouvrage. »
Extrait de la préface du Professeur Robert DUSSEY, Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération et de l’Intégration Régionale du Togo
RECONNAISANCE
Reconnaissance rassemble des chroniques et des essais que Théo Ananissoh a publiés entre 2011 et 2021 dans la revue littéraire L’Atelier du roman, en France. Dix années d’écrits réguliers tout en accomplissant ses romans. Des écrits où il lit et relie d’autres romans, anciens ou contemporains, au monde tel que nous le vivons – d’où un aspect autobiographique bien pertinent. Ananissoh traite de Chinua Achebe, de Mongo Beti ou d’Ahmadou Kourouma, mais aussi de Charles Dickens, d’Ernest Hemingway, de Karen Blixen ou encore de V. S. Naipaul. Autant de lecteurs, autant de romans, affirme-t-il. Le lecteur aussi accomplit l’œuvre de fiction, c’est évident. Ananissoh, ici, est pleinement lecteur ; un lecteur d’Afrique, dirions-nous, imprégné de ce continent et de son destin particulier. Sa lecture de ces écrivains d’ici et d’ailleurs enrichit notre compréhension de leurs œuvres, et nous éclaire sur nous-mêmes par rapport au monde. Au fil de ces chroniques et de ces essais, nous découvrons ou redécouvrons ainsi de fructueuses résonances chez des écrivains qui nous semblaient a priori éloignés comme André Gide, Ismaïl Kadaré, François Mauriac ou encore Leonardo Sciascia. Mine de rien, ces écrits, toujours limpides, nous donnent à voir les choses – osons-le – depuis une fenêtre qui est bien nôtre. Il n’est pas si fréquent qu’un romancier d’Afrique consacre du temps à explorer ainsi le réel par le biais de la lecture. Théo Ananissoh le fait ici avec la conviction que cela appartient à son œuvre d’écrivain.
Frémissement de la conscience
‘’Frémissement de la conscience’’ est un essai philosophique qui servira beaucoup pour le changement des mentalités au sein de nos communautés et pour l’accouchement d’un nouvel Homme sur terre. Il n’a pas manqué d’explorer des thèmes très importants dans ce monde en mutations comme la liberté, la démocratie, la bonne gouvernance, que bon nombre de dirigeants africains et de l’élite intellectuelle tardent à s’approprier et à appliquer dans la gestion de leurs pays. L’auteur est à son premier ouvrage édité.
LITTERATURE TOGOLAISE
Du 29 au 31 janvier 2020, l’équipe de recherche CoDIReL de l’Université de Lomé a organisé un important colloque intitulé « La littérature togolaise : histoire, poétique et didactique ». Ce livre est le résultat de cet important colloque et aborde les préoccupations prioritaires à l’enseignement de la littérature togolaise, sa taxonomie, sa périodisation, la problématique genre et l’expression littéraire féminine, les relations entre la littérature et l’histoire, les rapports de pouvoir et d’influence témoignant de l’existence d’un champ littéraire. Autant l’histoire littéraire vise à faire ressortir les forces et les faiblesses de la littérature existante, autant la poétique peut en tirer des orientations pour la littérature vivante, celle qui continue de s’écrire. Cet ouvrage se veut un jalon nécessaire pour une saisie raisonnée de la littérature togolaise.
Rachid Boudjedra : masculinité, féminité, transculturalité
Tout le long de cet essai, Kangni Alem a tenté d’approfondir d’abord l’itinéraire et les réactions de certains personnages masculins de Boudjedra face aux manifestations de l’Autorité, définie ici comme « figure rhétorique », catégorie mentale ou socio-économique ; ensuite, en analysant ce que la prise de la parole par la femme, autre victime éternelle de l’Autorité dans le roman maghrébin, peut révéler comme nouveautés, permanences ou ambivalences, il en arrive à la conclusion que l’inscription du sujet dans l’histoire étant corrélative de sa prise de parole, de l’affirmation de son individualité, lire Boudjedra dévoile une œuvre qui se positionne devant l’Histoire, entendue elle aussi comme figure d’autorité. L’individu maghrébin transculturel, particulièrement guetté par le syndrome de l’âge d’or arabe ou le traumatisme de la guerre coloniale, est nostalgique devant une histoire dont il peut aussi contribuer parfois à celer les contradictions.
Ce que les anciens m’ont dit sur Kouvé
Les Kouvé avaient, à leur arrivée, des mœurs et des rites amenés de Notsé et qui se sont altérés avec le temps. Le village en conserve encore néanmoins bon nombre. Il n’est guère possible de les transcrire tous dans le cadre des informations recueillies à l’occasion de cette 5ème édition de Hogbeza. Il faut procéder à un tri. Aussi sommes-nous borné à interroger des personnes sur les rites concernant la naissance et la »sortie de bébé », les mœurs en matière de mariage, les activités économiques, la maîtrise de la pluie, l’habitat et l’habillement, les croyances religieuses et les pratiques divinatoires, les activités artistiques et distractives.