Couronne de lauriers
3.500 CFA
Avec « Couronne de lauriers », KOFFIGOH rend un vibrant hommage à ceux ou celles qui ne sont plus parmi nous, mais qui ont marqué l’humanité avec des actes exceptionnels, patriotiques ou héroïques, et à ceux ou celles dont la vie simple et la disparition ont créé un vide dans le cœur de leurs proches.
Joseph Kokou Koffigoh
Œuvre similaires
La Princesse Yennenga
Avec un style particulier que l’on reconnaît à cet homme politique et avocat, Koffigoh raconte la brillante histoire de la Princesse YENNENGA, une héroïne qui a marqué l’Afrique et le royaume Mossi au Burkina-Faso.
Les Équato-guinéennes
Koffigoh hommage au président équato-guinéen Theodoro Obiang NGuema Mbassogo, pour le sacrifice consenti au nom de la Guinée Équatoriale, pour abriter cette fête du football africain, au moment où le Royaume du Maroc avait désisté à cause de l’épidémie du virus Ébola qui faisait des ravages dans certains états d’Afrique de l’Ouest.
Joseph Kokou Koffigoh
Météo politique
Météo politique est la première œuvre poétique de Lazare Koffi Koffi depuis son retour d’exil en fin janvier 2019 mais le septième de ses recueils de poèmes. Cette œuvre se distingue des six autres à la fois par sa structure et sa rythmique. En effet, s’il garde les accents prophétiques auxquels nous a habitués l’auteur dans presque toutes ses œuvres poétiques ainsi que la dénonciation des travers de la société ivoirienne, la mal gouvernance des dirigeants, l’exploitation et les calculs des impérialistes qui les soutiennent, sans oublier le « bloc » de ceux qui travaillent à tourner à leurs avantages, la longue « séquestration » en Europe du leader de son parti et le héros attendu de tous dans son pays, ce recueil de poème se présente dans sa structure comme un long discours poignant tel qu’on en trouve chez certains poètes ivoiriens actuels comme Macaire Etty, dans Mes saintes colères et sa rythmique est celle des jeunes slameurs qui allient musiques et paroles poétiques. Ce poème au long cours est un cri, pour interpeller et mettre à l’abri la Côte d’Ivoire des risques d’une nouvelle crise profonde si l’on s’entête à aller aux élections sans une réconciliation préalable.
Lazare KOFFI KOFFI
Engagements pour la vie
« Epris de liberté et se réclamant de la poésie moderne qui s’est affranchie de la contrainte trop forte de la rime et du vers, Kossi Séna ADUFU a, pour écrire ses poèmes, opté pour les poèmes en vers libres en mettant un accent particulier sur le rythme et les sonorités. Attaché fermement à la liberté, il a, dans son recueil de poèmes intitulé « ENGAGEMENTS POUR LA VIE », battu en brèche, le caractère régulier des rimes et des vers, brisé le carcan sinon, défait le rouleau oppresseur des poèmes aux formes fixes telles le sonnet, le rondeau, la ballade qui participent de la poésie classique. »
Médard T. ANI,
Fonctionnaire à la Cour des Comptes du Togo
Hymne à la Nation
Ce recueil est un appel à la réconciliation, à un sursaut d’orgueil pour la construction de la patrie et donc à une renaissance et à un renouveau de l’esprit de l’indépendance. Ce désir de Steve conclut le recueil mais la poésie n’est malheureusement que rêve face à la dure réalité et aux intérêts égoïstes de certains dirigeants, mais aussi de nombreux citoyens. L’« Hymne à la nation » serait-il vain comme une épée dans l’eau ? Seule l’histoire nous donnera l’occasion de l’apprécier.
Steve BODJONA
Mamie Wata, la pomme lacustre
« Ce poème qui défile tel un fleuve natal, atavique, qui serpente entre toutes les régions de l’Afrique est une exploitation poétique du mythe de Mamie Wata, sirène présentée, à la fois comme une figure de la séduction, mais aussi, comme le symbole des puissants de ce monde »
Dr N’Dongo M’Baye
Macaire ETTY
Le silence des barreaux
Ce recueil poétique n’est nullement, loin s’en faut, un pamphlet dirigé contre ses confrères. Il va au-delà pour toucher à la vie dans son ensemble, pour saisir sa vie dans ses multiples relations trempées de nostalgie pour les agréables moments passés à Lomé et ailleurs, notamment à Dakar… Koko DZOKA naît à la poésie dans une variété de thèmes et de styles qui laissent apparaître une forte sensibilité pour les choses et les êtres qu’il côtoie ou a côtoyés.
Des espoirs abandonnés
C’est le récit émouvant de la vie des enfants abandonnés dès leur naissance et qui, récupérés parfois au hasard, font l’amère expérience de vivre dans des centres d’accueil.
Moïse O. Inandjo
Libations
LIBATIONS passe en revue, toutes les traditions et cultures du Togo à travers des vers qui font aussi le tour de l’actualité au plan national et international.
Dans le silence de la nuit
« Dans le silence de la nuit », un nouveau genre et un champ encore inexploré dans la Littérature. Dans l’univers des bandes dessinées il a découvert des mots particuliers qui attiraient son attention. Des mots comme BOUM ! CRAC ! VROUUUUMMM, etc. Il en chercha et perçut l’essence quelques temps après. »
Marius BODJONA
Résonances
Ce recueil nous ballade du charnel au spirituel, voire au mystique, dans des allers retours de Lomé à Paris et même au Vatican. C’est une poésie très évocatrice qui ne manque pas de féconder le plaisir et l’émotion des plus profondes.
Maximilien AMEGEE
Et Dieu pleura…
Le crime de la déconstruction sociétale, la mort et le destin de nos nations, voici ce qui arrache donc les pleurs à Dieu ! Il en est ainsi parce que d’une part, si la description de Dieu n’est point une affabulation et que Dieu est loin d’être un simple personnage de fiction littéraire, ce texte cadrerait avec cette vision réaliste indéniable. D’autre part, quand la poésie s’allie au politique par le canal de la foi religieuse, elle n’a jamais été aussi incisive et porteuse d’idéal. On voit donc dans la juxtaposition des mots, des pensées et réflexions qui structurent ce poème du Ministre Lazare Koffi Koffi, mais encore par la foi qui y est manifeste, autant de choses qui offrent cette approche si flagrante du réel -notre passé récent. C’est pourquoi, cette œuvre force nécessairement l’attention et enseigne une chose fondamentale : consentir à offrir généreusement aux autres notre version –pardon-, notre vision des faits au travers du regard de Dieu. Lazare Koffi Koffi fait de ce discours frontal, l’objet d’un art vivifiant mais aussi de sa foi en l’homme et en Dieu.