De cœurs en cœur
3.000 CFA
C’est dans l’intensité qu’il professe sa foi dans l’avenir du TOGO… Douceur, fidélité et foi vont s’emparer de son cœur comme trois grands soleils dans un ciel momentanément assombri par des incendies criminels des marchés dont celui de Lomé Adawlato, une figure emblématique de l’économie togolaise, qui le laissaient inconsolable.
Steve BODJONA
Diplomate de carrière, Steve BODJONA est initiateur de divers événements littéraires au Togo dont, la Foire Internationale du Livre de Lomé et les Régionales du Livre.
Auteur de nombreux ouvrages, il préside le Club Le Littéraire, association qui regroupe de jeunes écrivains et autres férus de littérature du livre pour la promotion du livre et de la lecture.
Œuvre similaires
Les rêves suspendus
»Ai-je dit « beauté » ? C’est bien ce qui transparaît à travers ces vers ciselés de mains habiles, riches en thèmes fort variés, de rythmes à nous faire perdre haleine, de riches sonorités et d’abondantes images qui nous envoûtent…
Oui, j’ai lu BEAUTÉ ! Beauté, à travers la douleur et la rage, la mort et le chagrin, la solitude et la tristesse, l’engagement et la révolte, et aussi le rêve et l’évasion. J’ai surtout lu beauté à travers l’espoir, mieux, l’espérance de « vivre heureux pour une éternité. » »
Ernest Koffiga KAVEGE
Enseignant, écrivain
Des espoirs abandonnés
C’est le récit émouvant de la vie des enfants abandonnés dès leur naissance et qui, récupérés parfois au hasard, font l’amère expérience de vivre dans des centres d’accueil.
Moïse O. Inandjo
L’espérance…du désespoir
« L’espérance… du désespoir » nous donne de voir AONON Babyface André manier avec une dextérité et une justesse exceptionnelles la langue française. Il est heureux de constater que cet ouvrage est un hommage à la pureté et à la beauté de la langue de Molière.
Ce livre sera pour les lecteurs de tous âges et même pour les esprits très affinés, à l’érudition prouvée, une véritable fontaine de connaissances. Nous le conseillons vivement à tous ; il saura susciter en nous une réelle envie d’appréhender différemment notre environnement. »
Frédéric YELEMOU
Professeur certifié de lettres modernes
Écrire les silences
« A travers le tissage des mots, il démontre comme un mathématicien du verbal inaudible, que le senti est plus expressif que le dit, et que les sensations intimes entre l’humain et la nature ne sont pas facilement perceptibles par le profane.
Pour ne pas crier, Ndongo MBAYE chante la vie. Le silence est sagesse sur tous les espaces d’humanité où il est possible de parler les mots dans les coulisses.
Ecouter et entendre toutes les palpitations, toutes les comptines inaudibles, plonge le lecteur dans la lumière de la vie où il ne rencontrera que des « Visages de Bonheur à satiété » qui lui rappelleront que le monde existe dorénavant pour lui et les autres comme le suggèrent les trois points de suspension qui accompagnent le titre de cette belle œuvre. »
Prof Moussa DAFF, Professeur titulaire des Universités de classe exceptionnelle, Linguistique et Didactique (UCAD)
Ndongo MBAYE
Les secrets de Paul AHYI
Dans cet ouvrage, VONDOLY rend hommage à l’auteur du drapeau togolais et Professeur émérite d’arts plastiques : Paul AHYI, un grand homme qu’il a côtoyé. Ces poèmes sont un témoignage vivant de la grandeur de cet homme qui demeure une icône incontestable des arts plastiques au Togo, en Afrique, dans le monde où ses œuvres ornent villes et immeubles.
Kodzo Adzewoda VONDOLY
Le silence des barreaux
Ce recueil poétique n’est nullement, loin s’en faut, un pamphlet dirigé contre ses confrères. Il va au-delà pour toucher à la vie dans son ensemble, pour saisir sa vie dans ses multiples relations trempées de nostalgie pour les agréables moments passés à Lomé et ailleurs, notamment à Dakar… Koko DZOKA naît à la poésie dans une variété de thèmes et de styles qui laissent apparaître une forte sensibilité pour les choses et les êtres qu’il côtoie ou a côtoyés.
Résonances
Ce recueil nous ballade du charnel au spirituel, voire au mystique, dans des allers retours de Lomé à Paris et même au Vatican. C’est une poésie très évocatrice qui ne manque pas de féconder le plaisir et l’émotion des plus profondes.
Maximilien AMEGEE
Les Équato-guinéennes
Koffigoh hommage au président équato-guinéen Theodoro Obiang NGuema Mbassogo, pour le sacrifice consenti au nom de la Guinée Équatoriale, pour abriter cette fête du football africain, au moment où le Royaume du Maroc avait désisté à cause de l’épidémie du virus Ébola qui faisait des ravages dans certains états d’Afrique de l’Ouest.
Joseph Kokou Koffigoh
Couronne de lauriers
Avec « Couronne de lauriers », KOFFIGOH rend un vibrant hommage à ceux ou celles qui ne sont plus parmi nous, mais qui ont marqué l’humanité avec des actes exceptionnels, patriotiques ou héroïques, et à ceux ou celles dont la vie simple et la disparition ont créé un vide dans le cœur de leurs proches.
Joseph Kokou Koffigoh
Je ne suis pas que négatif
Ce recueil est intéressant par l’originalité du style qui bouscule les codes d’écriture auxquels nous sommes habitués. On a comme l’impression que Madame Koutchoukalo TCHASSIM veut davantage redonner du sens à la poésie qui est création, découverte et révélation. La poésie togolaise retrouve un certain dynamisme depuis une décennie. Elle va naturellement s’enrichir de ce que je pressens comme une nouvelle école de style, dont l’initiative vient de Madame TCHASSIM.
Hymne à la Nation
Ce recueil est un appel à la réconciliation, à un sursaut d’orgueil pour la construction de la patrie et donc à une renaissance et à un renouveau de l’esprit de l’indépendance. Ce désir de Steve conclut le recueil mais la poésie n’est malheureusement que rêve face à la dure réalité et aux intérêts égoïstes de certains dirigeants, mais aussi de nombreux citoyens. L’« Hymne à la nation » serait-il vain comme une épée dans l’eau ? Seule l’histoire nous donnera l’occasion de l’apprécier.
Steve BODJONA
Sanglots et espoirs
Le message de ce recueil est protéiforme. Il exclut la langue de bois et démontre de ce qu’un poète pense et s’exprime avec le cœur. Ce recueil confirme aussi que le cœur ne trompe pas.
Il bat au rythme de la frénésie et de l’émotion. Ernest mesurait assurément ses propos lorsqu’il dit à son préfacier : « Dis-le-moi comme une poésie et je vivrai sa symphonie »