Le management stratégique
3.000 CFA
« La Responsabilité Sociale des Entreprises peut aujourd’hui être considérée comme un thème de gestion qui prend tout son sens dans le management opérationnel des entreprises et des organisations. C’est pourquoi, il semble nécessaire d’éclairer le concept de Responsabilité Sociale des Entreprises, notamment parce qu’il ne concerne pas uniquement le volet social des organisations et qu’il ne s’applique pas qu’aux entreprises stricto sensu. Il s’agit de commencer par traduire ce concept dans les décisions et les pratiques de management stratégique, mais également de proposer une ingénierie stratégique pour sa mise en œuvre. »
De nationalité gabonaise, Mathurin OBIANG NZUE est né à Mitzic dans le département de l'Okano. Il est originaire de la province septentrionale, plus précisément de Woleu-Ntem. Il est nanti d'un Certificat appliqué en Gestion des Ressources Humaines, d’un Certificat d’études appliquées en théologie et d'un Master en Comptabilité Audit et Contrôle. Doctorant en Sciences de Gestion, il a servi au Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) comme Assistant Administratif et Financier sur le projet ART GOLD. Directeur Administratif et Financier à BATI PRO AFRIQUE, il est actuellement Chef de service Comptabilité Générale à la CICA-RE, organisation internationale des pays membres de la Conférence Internationale des Marchés d'Assurances (CIMA). Il est étudiant à l'Institut Supérieur des Etudes Chrétiennes (ISEC) au TOGO, avec comme spécialité, le Conseil conjugal. Mathurin OBIANG NZUE est marié à la charmante et merveilleuse Flaure OBIANG née MATSANGA FIFIE. De leur union, sont sortis six enfants dont quatre filles et deux garçons. Le management stratégique de la responsabilité sociétale des entreprises face à la Covid-19 est sa deuxième œuvre éditée après La vérité autour de la Covid-19 parue en 2020...
Œuvre similaires
L’AFRIQUE DES PHARAONS A LA DÉMOCRATIE BUISSONNIÈRE
Essai de réflexion sur les idéologies et les pratiques politiques en Afrique, cet ouvrage est constitué d’une série d’articles et d’entretiens que l’auteur a consacrés à des chercheurs africains renommés – dont certains, comme Laurent Gbagbo et Mamadou Koulibaly deviendront aussi des acteurs politiques. Ces penseurs ont en commun d’avoir abordé les défis de notre continent et formulé des propositions pour les affronter, du point de vue de la philosophie, de l’histoire, ainsi que des autres sciences humaines et sociales.
L’ouvrage part de stimulants débats, à l’Université de Dakar, autour de l’œuvre et avec Cheikh Anta Diop, sur la réappropriation critique par l’Afrique de l’héritage de l’Egypte pharaonique. Il examine ensuite la pratique des idéologies marxistes, socialistes et libérales. Enfin, il analyse les difficultés de l’Afrique à sortir d’une démocratie buissonnière que l’auteur définit comme « une vie politique en trompe-l’œil qui consiste à ruser avec les principes de la démocratie, à se parer des signes extérieurs de ce système politique (multipartisme, élections pluralistes plus ou moins régulières… ), tout en maintenant un état d’esprit et des pratiques instituant en réalité, la confiscation, par une minorité, du pouvoir et des avantages indus qui en sont tirés. »
Politique étrangère du Togo : une décennie d’offensive diplomatique
« Le présent ouvrage est l’un des rares livres essentiellement consacrées à la politique étrangère du Togo. Il est d’autant plus intéressant qu’il est le produit d’un diplomate togolais qui partage ses propres diagnostics des orientations qui gouvernent sa profession. L’exercice peut être comparé à une espèce d’auto-écriture ou d’« herméneutique de soi » qui permet d’éclairer quiconque s’intéresse au Togo et à sa politique étrangère. Le soi ricourien est un soi capable et agissant, et Steve Bodjona a bien voulu joindre l’écriture à son travail quotidien de diplomate en rédigeant cet ouvrage. »
Extrait de la préface du Professeur Robert DUSSEY, Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération et de l’Intégration Régionale du Togo
RECONNAISANCE
Reconnaissance rassemble des chroniques et des essais que Théo Ananissoh a publiés entre 2011 et 2021 dans la revue littéraire L’Atelier du roman, en France. Dix années d’écrits réguliers tout en accomplissant ses romans. Des écrits où il lit et relie d’autres romans, anciens ou contemporains, au monde tel que nous le vivons – d’où un aspect autobiographique bien pertinent. Ananissoh traite de Chinua Achebe, de Mongo Beti ou d’Ahmadou Kourouma, mais aussi de Charles Dickens, d’Ernest Hemingway, de Karen Blixen ou encore de V. S. Naipaul. Autant de lecteurs, autant de romans, affirme-t-il. Le lecteur aussi accomplit l’œuvre de fiction, c’est évident. Ananissoh, ici, est pleinement lecteur ; un lecteur d’Afrique, dirions-nous, imprégné de ce continent et de son destin particulier. Sa lecture de ces écrivains d’ici et d’ailleurs enrichit notre compréhension de leurs œuvres, et nous éclaire sur nous-mêmes par rapport au monde. Au fil de ces chroniques et de ces essais, nous découvrons ou redécouvrons ainsi de fructueuses résonances chez des écrivains qui nous semblaient a priori éloignés comme André Gide, Ismaïl Kadaré, François Mauriac ou encore Leonardo Sciascia. Mine de rien, ces écrits, toujours limpides, nous donnent à voir les choses – osons-le – depuis une fenêtre qui est bien nôtre. Il n’est pas si fréquent qu’un romancier d’Afrique consacre du temps à explorer ainsi le réel par le biais de la lecture. Théo Ananissoh le fait ici avec la conviction que cela appartient à son œuvre d’écrivain.
LITTERATURE TOGOLAISE
Du 29 au 31 janvier 2020, l’équipe de recherche CoDIReL de l’Université de Lomé a organisé un important colloque intitulé « La littérature togolaise : histoire, poétique et didactique ». Ce livre est le résultat de cet important colloque et aborde les préoccupations prioritaires à l’enseignement de la littérature togolaise, sa taxonomie, sa périodisation, la problématique genre et l’expression littéraire féminine, les relations entre la littérature et l’histoire, les rapports de pouvoir et d’influence témoignant de l’existence d’un champ littéraire. Autant l’histoire littéraire vise à faire ressortir les forces et les faiblesses de la littérature existante, autant la poétique peut en tirer des orientations pour la littérature vivante, celle qui continue de s’écrire. Cet ouvrage se veut un jalon nécessaire pour une saisie raisonnée de la littérature togolaise.
Le journalisme au Togo : contraintes et réalités du terrain
…En publiant cette cuvre à vocation epistemologique, l’auteur jette les bases du méta-journalismes togolais qui selon le Directeur du Centre d’expertise et de recherche africain sur les médias et la communication (CERAM), Serge Théophile BALIMA, « semble être le seul moven de garantir un avenir prometteur au journalisme dans nos pays en processus démocratique ». C’est ma foi, la presse togolaise ne sauvera sa crédibilité mise à mal que si, comme le fait cet auteur, s’allument intermittemment de puissants projecteurs sur les distorsions qu’elle inflige à la réalité. »
Extrait de la préface de Gilles BOCCO,
journaliste, Chargé de communication au Système d’échanges d’énergie electrique de la CEDEAO
« Un journaliste qui ne vit pas de son job est facile à corrompre… Le journaliste n’a pas de statut au Togo. En l’absence de convention collective, les journalistes sont exploités à fond par des patrons de presse… »
Noël Kokou TADEGNON, Journaliste, Correspondant de l’Agence REUTERS au Togo
« Cet ouvrage nous rappelle à l’ordre, a l’éveil des consciences, aussi bien chez les professionnels du métier que chez les acteurs de la société politique et civile. »
Extrait de la postface de Francine AYESSOU-KOMLA,
Journaliste indépendante résidant à Dublin Irlande)
Ecrivain et journaliste, VONDOLY révèle dans cet ouvrage, les contraintes et les réalités de l’exercice du métier du journaliste au Togo. Il aborde plusieurs problématiques, notamment la précarité qui est la source de nombreux dérapages des journalistes, le manque de professionnalisme chez la plupart devenus des mercenaires de la plume, et les éventuelles conséquences sur la vie des paisibles citoyens. I évoque aussi l’insécurité qui plane sur les journalistes, souvent agressés sur leurs lieux de travail. Ses analyses sont basées sur les regards que le public porte sur un secteur devenu extremement pourri au Togo.
Frémissement de la conscience
‘’Frémissement de la conscience’’ est un essai philosophique qui servira beaucoup pour le changement des mentalités au sein de nos communautés et pour l’accouchement d’un nouvel Homme sur terre. Il n’a pas manqué d’explorer des thèmes très importants dans ce monde en mutations comme la liberté, la démocratie, la bonne gouvernance, que bon nombre de dirigeants africains et de l’élite intellectuelle tardent à s’approprier et à appliquer dans la gestion de leurs pays. L’auteur est à son premier ouvrage édité.
Rachid Boudjedra : masculinité, féminité, transculturalité
Tout le long de cet essai, Kangni Alem a tenté d’approfondir d’abord l’itinéraire et les réactions de certains personnages masculins de Boudjedra face aux manifestations de l’Autorité, définie ici comme « figure rhétorique », catégorie mentale ou socio-économique ; ensuite, en analysant ce que la prise de la parole par la femme, autre victime éternelle de l’Autorité dans le roman maghrébin, peut révéler comme nouveautés, permanences ou ambivalences, il en arrive à la conclusion que l’inscription du sujet dans l’histoire étant corrélative de sa prise de parole, de l’affirmation de son individualité, lire Boudjedra dévoile une œuvre qui se positionne devant l’Histoire, entendue elle aussi comme figure d’autorité. L’individu maghrébin transculturel, particulièrement guetté par le syndrome de l’âge d’or arabe ou le traumatisme de la guerre coloniale, est nostalgique devant une histoire dont il peut aussi contribuer parfois à celer les contradictions.
Littérature togolaise : discours et figures d’autorité
Ce recueil de quinze articles consacré aux écrivains togolais et aux discours qui leur confèrent une autorité littéraire se veut un cadre de concertation préalable sur les contours et les modalités d’une « réécriture » de l’histoire de notre littérature…
La cartographie de cette littérature reste et demeure un chantier ouvert qui n’attend que l’œuvre des spécialistes pour dévoiler son nouveau champ littéraire et artistique. Elle ne peut s’écrire, à notre avis, que si, préalablement, elle est référée à son histoire. Or cette histoire, mal connue, est souvent racontée en »lambeaux » ou par chapitres quelquefois inachevés. Écrire l’histoire de la littérature togolaise avec une nomenclature précise des auteurs à travers le temps, et établir une typologie rigoureuse des discours qui ont marqué et enrichi les grandes étapes de son évolution, fut l’enjeu ultime à l’origine de la présente initiative. Quelle est l’identité réelle de la littérature togolaise ? Peut-elle se prévaloir aujourd’hui d’une quelconque fécondité ? Cinquante ans après l’indépendance de la nation togolaise, en quoi a-t-elle pu contribuer à l’émancipation de l’écriture narrative ou métadiscursive ?
Les contributions, dans l’ensemble, proposent des pistes de recherche qui s’articulent autour de trois axes, à savoir :
- la littérature togolaise, des origines à nos jours : historiographie et nomenclature ;
- les innovations esthétiques du nouveau champ littéraire et artistique togolais ;
- les perspectives pour une utilisation pédagogique de la littérature togolaise.
Littérature togolaise, discours et figures d’autorité constitue un précieux outil de travail tant pour les universitaires que pour les écrivains eux-mêmes. Il contribuera, nous l’espérons, à une meilleure connaissance de notre littérature…
LES SECRETS DE LA REUSSITE DE LA VIE
« En effet, ce que nous désirons n’est pas nécessairement de quoi nous avons besoin. Le désir d’un homme peut être provoqué par un facteur externe et frivole qui n’est pas nécessairement en phase avec l’appel de la personne. Le désir est souvent passager et nous camouffle la vision surtout lorsqu’il est en déphasage avec cette dernière. Ce n’est qu’après avoir satisfait un désir que l’on reconnaît qu’il diffère de notre besoin. Combien de fois n’avons-nous pas cru que c’est le manque d’argent qui nous met dans la situation dans laquelle nous sommes ? Que c’est le manque de diplômes qui nous ralentit? Que c’est le manque d’enfants qui nous rend la vie difficile ? »
Les « hommes de Dieu » dans la cité africaine
ntre les personnes qui souhaitent que les “hommes de Dieu” descendent dans l’arène politique et celles qui pensent que le rôle de ces derniers est strictement spirituel, l’auteur estime que, pour combattre la misère, l’injustice, l’oppression, la corruption, le néocolonialisme, etc., prêtres, pasteurs et imams ne sont pas obligés de militer dans des partis politiques ou d’exercer des charges publiques (député, maire, ministre ou président de la République). Pour lui, les “hommes de Dieu” peuvent contribuer à la stabilité et à la bonne marche de la Cité en dénonçant les discours et comportements susceptibles de porter atteinte au vivre-ensemble. Cela suppose qu’ils soient financièrement indépendants des hommes politiques qui n’aiment pas toujours être contredits ou interpellés sur leur gestion du bien commun.
Jean-Claude Djéréké montre ainsi que l’annonce de la Parole de Dieu et le prophétisme sont deux choses inséparables et que, pour parler valablement et sérieusement d’amour et de paix, il est urgent et nécessaire de s’attaquer aux mensonges, aux injustices économiques, sociales ou politiques qui chaque jour tirent nos pays d’Afrique francophone vers le bas.
Le vodun ne fait pas rêver
« …Dans le fond, et au demeurant, la question sous-jacente à ce livre ne rejoint-elle pas la question fondamentale que pose l’esprit de l’athéisme que nous trouvons chez André Comte-Sponville et qui par ailleurs fut le thème de la récente conférence de carême à Notre Dame de Paris au cours de laquelle l’illustre et distingué conférencier Guillaume de Menthière invitait à démasquer les ombres et chasser les ténèbres, en essayant de répondre en notre âme et conscience à la question : « Allons-nous quelque part ? » et en l’occurrence, « allons-nous quelque part avec le vodun ? ». Œuvrer ainsi, c’est rendre service à ce que nous considérons comme un précieux héritage culturel du Bénin et de la diaspora noire en général.
Emmanuel Adebayor la lumière
“Adébayor n’est certes pas le joueur le plus talentueux de l’histoire du football de son pays. Cependant, c’est une lapalissade, il aura contribué foncièrement à booster l’image de cette discipline et par ricochet, celle de son pays dans le landerneau sportif international ces dernières années. Il est, à n’en point douter, le meilleur support de communication de son pays.
Mal entouré, Shéyi a été pris parfois dans ces cyclones qui ont grignoté son capital-sympathie au sein de l’opinion qui a du mal à décrypter les coutures de sa personnalité, si volatile, imprévisible, mais en même temps, séduisante. Paradoxes, avions-nous dit !
Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, Emmanuel Adébayor est un joueur charmant lorsqu’il se décide à faire chavirer de plaisir exquis les aficionados, transis par ces sensations ineffables qui vous font nager dans l’azur. ”
Extrait de la préface de Hans K. MASRO,
Journaliste Sportif (Ex-BBC)
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