LES SECRETS DE LA REUSSITE DE LA VIE
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« En effet, ce que nous désirons n’est pas nécessairement de quoi nous avons besoin. Le désir d’un homme peut être provoqué par un facteur externe et frivole qui n’est pas nécessairement en phase avec l’appel de la personne. Le désir est souvent passager et nous camouffle la vision surtout lorsqu’il est en déphasage avec cette dernière. Ce n’est qu’après avoir satisfait un désir que l’on reconnaît qu’il diffère de notre besoin. Combien de fois n’avons-nous pas cru que c’est le manque d’argent qui nous met dans la situation dans laquelle nous sommes ? Que c’est le manque de diplômes qui nous ralentit? Que c’est le manque d’enfants qui nous rend la vie difficile ? »
Titulaire d'un doctorat en Leadership et en Administration ainsi que d'un Master en Technologies de l'Information décrochés aux USA et d'une Maîtrise en Economie obtenue à l'Université du Bénin aujourd'hui Université de Lomé, Kodjovi Atna Thon est un homme particulièrement engagé pour le développement et pour la cause de la jeunesse africaine. En témoignent les notions qu'il évoque dans ses livres dont celui-ci est le 4ème. Son objectif : contribuer à construire avec ses frères et sœurs, un pays économiquement fort et socialement uni. Un état qui passe avant tout par un profond changement de mentalité. Président de la Togolese Foundation de 2009 à 2017 et actuellement de Nouvelle Vision, il a été candidat à la présidentielle du 22 février 2020 avant d'être injustement écarté par la Cour Constitutionnelle.
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Vision prospective du financement des économies de la zone UEMOA à travers l’intelligence économique
« Le mot « guerre » revient comme élément de langage dans divers discours et domaines à chaque fois qu’on entrevoit une crise qui n’est plus que militaire ou sécuritaire mais parfois climatique, sanitaire, commerciale (guerre commerciale) voire économique (guerre économique) ou financière. Alors, dès qu’on ajoute à ces réflexions, la vieille expression bien familière des banques « l’Argent est le Nerf de la guerre », on se rend vite compte que toute guerre requiert du Génie donc de l’Intelligence. Et c’est de ce prisme pertinent de l’Intelligence Economique que cet ouvrage emprunte son titre. L’auteur y a abordé de manière assez synthétique l’histoire de notre environnement bancaire, son évolution, ses grandes réformes et mutations en matière de gestion des risques sans faire l’économie d’une réflexion sur les perspectives à venir. »
Mamadou Igor DIARRA
Ancien Ministre de l’Economie et des Finances (Mali)
CEDEAO, du libre-échange au marché commun…
L’intégration par le marché qui caractérise les regroupements régionaux africains, est-elle véritablement porteuse de croissance pour tous les Etats parties? En effet, le déséquilibre économique notoire entre les pays, met en doute l’aptitude des Etats faibles à tirer pleinement profit de leur appartenance à une communauté de marché semblable à la CEDEAO.
Le Niger, qui est un grand militant de la CEDEAO, a malheureusement peu de dotations factorielles, ce qui amenuise ses chances dans les échanges intracommunautaires.
Les thématiques développées dans ce livre, présentent les opportunités commerciales du Niger du fait de son appartenance à cette institution, les menaces auxquelles il fait face et les pistes d’amélioration de son commerce.
Emmanuel Adebayor la lumière
“Adébayor n’est certes pas le joueur le plus talentueux de l’histoire du football de son pays. Cependant, c’est une lapalissade, il aura contribué foncièrement à booster l’image de cette discipline et par ricochet, celle de son pays dans le landerneau sportif international ces dernières années. Il est, à n’en point douter, le meilleur support de communication de son pays.
Mal entouré, Shéyi a été pris parfois dans ces cyclones qui ont grignoté son capital-sympathie au sein de l’opinion qui a du mal à décrypter les coutures de sa personnalité, si volatile, imprévisible, mais en même temps, séduisante. Paradoxes, avions-nous dit !
Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, Emmanuel Adébayor est un joueur charmant lorsqu’il se décide à faire chavirer de plaisir exquis les aficionados, transis par ces sensations ineffables qui vous font nager dans l’azur. ”
Extrait de la préface de Hans K. MASRO,
Journaliste Sportif (Ex-BBC)
Ainsi parlait Bernard Dadié
En janvier 2016, Bernard Dadié a eu 100 ans. En 100 paragraphes choisis, le présent recueil passe en revue les temps forts de la prise de parole publique de l’écrivain. Conforme à son idéal de liberté et d’humanisme, l’écrivain a pris position, de 1933 à 2019, année de sa disparition survenue à 103 ans. Par sa rigueur, sa pertinence et sa constance, Dadié laisse dans le paysage de l’écriture et du militantisme en Afrique voire dans le monde, un modèle de courage, de fidélité et de conviction ; un modèle restituant au statut d’intellectuel, tout son sens de Phare ultime de la Cité !
Dans le présent recueil de pensées, Josué Guébo offre un condensé saisissant de la pensée politique et artistique d’un des pères de la littérature africaine d’expression francophone : Bernard Dadié.
LITTERATURE TOGOLAISE
Du 29 au 31 janvier 2020, l’équipe de recherche CoDIReL de l’Université de Lomé a organisé un important colloque intitulé « La littérature togolaise : histoire, poétique et didactique ». Ce livre est le résultat de cet important colloque et aborde les préoccupations prioritaires à l’enseignement de la littérature togolaise, sa taxonomie, sa périodisation, la problématique genre et l’expression littéraire féminine, les relations entre la littérature et l’histoire, les rapports de pouvoir et d’influence témoignant de l’existence d’un champ littéraire. Autant l’histoire littéraire vise à faire ressortir les forces et les faiblesses de la littérature existante, autant la poétique peut en tirer des orientations pour la littérature vivante, celle qui continue de s’écrire. Cet ouvrage se veut un jalon nécessaire pour une saisie raisonnée de la littérature togolaise.
Le journalisme au Togo : contraintes et réalités du terrain
…En publiant cette cuvre à vocation epistemologique, l’auteur jette les bases du méta-journalismes togolais qui selon le Directeur du Centre d’expertise et de recherche africain sur les médias et la communication (CERAM), Serge Théophile BALIMA, « semble être le seul moven de garantir un avenir prometteur au journalisme dans nos pays en processus démocratique ». C’est ma foi, la presse togolaise ne sauvera sa crédibilité mise à mal que si, comme le fait cet auteur, s’allument intermittemment de puissants projecteurs sur les distorsions qu’elle inflige à la réalité. »
Extrait de la préface de Gilles BOCCO,
journaliste, Chargé de communication au Système d’échanges d’énergie electrique de la CEDEAO
« Un journaliste qui ne vit pas de son job est facile à corrompre… Le journaliste n’a pas de statut au Togo. En l’absence de convention collective, les journalistes sont exploités à fond par des patrons de presse… »
Noël Kokou TADEGNON, Journaliste, Correspondant de l’Agence REUTERS au Togo
« Cet ouvrage nous rappelle à l’ordre, a l’éveil des consciences, aussi bien chez les professionnels du métier que chez les acteurs de la société politique et civile. »
Extrait de la postface de Francine AYESSOU-KOMLA,
Journaliste indépendante résidant à Dublin Irlande)
Ecrivain et journaliste, VONDOLY révèle dans cet ouvrage, les contraintes et les réalités de l’exercice du métier du journaliste au Togo. Il aborde plusieurs problématiques, notamment la précarité qui est la source de nombreux dérapages des journalistes, le manque de professionnalisme chez la plupart devenus des mercenaires de la plume, et les éventuelles conséquences sur la vie des paisibles citoyens. I évoque aussi l’insécurité qui plane sur les journalistes, souvent agressés sur leurs lieux de travail. Ses analyses sont basées sur les regards que le public porte sur un secteur devenu extremement pourri au Togo.
La crise de l’écriture dans La Polka de Kossi EFOUI
Le principal défi du lecteur de La Polka, c’est de pouvoir résumer l’œuvre. Un exercice délicat, le roman étant conçu comme un puzzle où les différentes parties du récit sont éclatées, brisant ainsi la linéarité classique du roman traditionnel. Cet ouvrage se propose de relever le challenge en identifiant les mécanismes qui ont contribué à sa structure singulière afin d’induire une compréhension moins déroutante, plus accessible. Tout compte fait, il est question de démêler l’écheveau, de retrouver tous les pions et de les remettre chacun à leurs justes places, de reconstituer du coup la linéarité structurelle et sémantique inhérente à l’œuvre nonobstant son chaos factice voire fantaisiste, tout en relevant les mécanismes de déconstruction qui caractérisent les nouvelles écritures africaines.
La vérité autour de la COVID-19
A travers ce livre, l’auteur analyse la crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19 dont le monde entier paie un lourd tribu avec plus d’un million de contaminés et des milliers de morts. La vérité autour de la Covid-19 vient à point nommé, puisqu’il essaie de faire la lumière sur certains points essentiels restés cachés au public. C’est quoi la Covid-19 ? Quelle est son origine ? Comment se manifeste-t-elle ? Quels sont ses impacts sur l’évolution du monde ? Quelles sont les actions qui doivent être menées pour la vaincre ? Quelle place le monde réserve-t-il à Dieu le créateur de l’humanité et le plus grand guérisseur, dans cette lutte contre le virus ? Autant d’interrogations auxquelles tente de trouver des réponses, Marthurin OBIANG NZUE pour qui la première référence dans la réalisation du présent ouvrage est la Sainte Bible.
RECONNAISANCE
Reconnaissance rassemble des chroniques et des essais que Théo Ananissoh a publiés entre 2011 et 2021 dans la revue littéraire L’Atelier du roman, en France. Dix années d’écrits réguliers tout en accomplissant ses romans. Des écrits où il lit et relie d’autres romans, anciens ou contemporains, au monde tel que nous le vivons – d’où un aspect autobiographique bien pertinent. Ananissoh traite de Chinua Achebe, de Mongo Beti ou d’Ahmadou Kourouma, mais aussi de Charles Dickens, d’Ernest Hemingway, de Karen Blixen ou encore de V. S. Naipaul. Autant de lecteurs, autant de romans, affirme-t-il. Le lecteur aussi accomplit l’œuvre de fiction, c’est évident. Ananissoh, ici, est pleinement lecteur ; un lecteur d’Afrique, dirions-nous, imprégné de ce continent et de son destin particulier. Sa lecture de ces écrivains d’ici et d’ailleurs enrichit notre compréhension de leurs œuvres, et nous éclaire sur nous-mêmes par rapport au monde. Au fil de ces chroniques et de ces essais, nous découvrons ou redécouvrons ainsi de fructueuses résonances chez des écrivains qui nous semblaient a priori éloignés comme André Gide, Ismaïl Kadaré, François Mauriac ou encore Leonardo Sciascia. Mine de rien, ces écrits, toujours limpides, nous donnent à voir les choses – osons-le – depuis une fenêtre qui est bien nôtre. Il n’est pas si fréquent qu’un romancier d’Afrique consacre du temps à explorer ainsi le réel par le biais de la lecture. Théo Ananissoh le fait ici avec la conviction que cela appartient à son œuvre d’écrivain.
Fictions africaines et écriture de démesure
Les fictions africaines, dans le cas de cette analyse, sont un ensemble de quelques œuvres africaines engendrées par le fait colonial, les faits sociaux d’après la colonisation ; bref la vie quotidienne des sociétés africaines. Les auteurs de ces fictions, dans leur démarche créatrice, se devaient de respecter les normes et les idéologies du centre ou de la métropole puisque c’était l’ère du conformisme adopté par certains précurseurs du roman africain tels que Félix Couchoro, Paul Hazoumé, David Ananou et bien d’autres. La notion de démesure reste intrinsèquement liée à la quête de liberté, de l’identité sinon de l’authenticité des valeurs africaines. La démesure se manifeste de diverses manières dans les fictions africaines : elle est synonyme de décentrement, à tous égards, de l’ancienne métropole qui n’est plus référentielle et dont la langue, le français hexagonal aussi rigide, ne favorise pas la traduction véritable des réalités africaines.
A cet effet, les œuvres ne peuvent être comprises qu’à travers l’exploitation de certains outils d’analyse dont se sert le lecteur.
Le management stratégique
« La Responsabilité Sociale des Entreprises peut aujourd’hui être considérée comme un thème de gestion qui prend tout son sens dans le management opérationnel des entreprises et des organisations. C’est pourquoi, il semble nécessaire d’éclairer le concept de Responsabilité Sociale des Entreprises, notamment parce qu’il ne concerne pas uniquement le volet social des organisations et qu’il ne s’applique pas qu’aux entreprises stricto sensu. Il s’agit de commencer par traduire ce concept dans les décisions et les pratiques de management stratégique, mais également de proposer une ingénierie stratégique pour sa mise en œuvre. »
Politique étrangère du Togo : une décennie d’offensive diplomatique
« Le présent ouvrage est l’un des rares livres essentiellement consacrées à la politique étrangère du Togo. Il est d’autant plus intéressant qu’il est le produit d’un diplomate togolais qui partage ses propres diagnostics des orientations qui gouvernent sa profession. L’exercice peut être comparé à une espèce d’auto-écriture ou d’« herméneutique de soi » qui permet d’éclairer quiconque s’intéresse au Togo et à sa politique étrangère. Le soi ricourien est un soi capable et agissant, et Steve Bodjona a bien voulu joindre l’écriture à son travail quotidien de diplomate en rédigeant cet ouvrage. »
Extrait de la préface du Professeur Robert DUSSEY, Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération et de l’Intégration Régionale du Togo
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