LES SECRETS DE LA REUSSITE DE LA VIE
3.000 CFA
« En effet, ce que nous désirons n’est pas nécessairement de quoi nous avons besoin. Le désir d’un homme peut être provoqué par un facteur externe et frivole qui n’est pas nécessairement en phase avec l’appel de la personne. Le désir est souvent passager et nous camouffle la vision surtout lorsqu’il est en déphasage avec cette dernière. Ce n’est qu’après avoir satisfait un désir que l’on reconnaît qu’il diffère de notre besoin. Combien de fois n’avons-nous pas cru que c’est le manque d’argent qui nous met dans la situation dans laquelle nous sommes ? Que c’est le manque de diplômes qui nous ralentit? Que c’est le manque d’enfants qui nous rend la vie difficile ? »
Titulaire d'un doctorat en Leadership et en Administration ainsi que d'un Master en Technologies de l'Information décrochés aux USA et d'une Maîtrise en Economie obtenue à l'Université du Bénin aujourd'hui Université de Lomé, Kodjovi Atna Thon est un homme particulièrement engagé pour le développement et pour la cause de la jeunesse africaine. En témoignent les notions qu'il évoque dans ses livres dont celui-ci est le 4ème. Son objectif : contribuer à construire avec ses frères et sœurs, un pays économiquement fort et socialement uni. Un état qui passe avant tout par un profond changement de mentalité. Président de la Togolese Foundation de 2009 à 2017 et actuellement de Nouvelle Vision, il a été candidat à la présidentielle du 22 février 2020 avant d'être injustement écarté par la Cour Constitutionnelle.
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DE KECSKEMÉTI À SELES : L’AFRIQUE AU CONSEIL INTERNATIONAL DES ARCHIVES
Créé sous l’égide de l’UNESCO en 1948, le Conseil international des archives célèbre ses 75 ans d’existence en juin 2023. Cette organisation internationale basée sur la loi française de 1901 et ayant son siège à Paris, a pour but essentiel la promotion de la préservation et de l’accès aux archives dans le monde entier au moyen de la coopération internationale…
LITTERATURE TOGOLAISE
Du 29 au 31 janvier 2020, l’équipe de recherche CoDIReL de l’Université de Lomé a organisé un important colloque intitulé « La littérature togolaise : histoire, poétique et didactique ». Ce livre est le résultat de cet important colloque et aborde les préoccupations prioritaires à l’enseignement de la littérature togolaise, sa taxonomie, sa périodisation, la problématique genre et l’expression littéraire féminine, les relations entre la littérature et l’histoire, les rapports de pouvoir et d’influence témoignant de l’existence d’un champ littéraire. Autant l’histoire littéraire vise à faire ressortir les forces et les faiblesses de la littérature existante, autant la poétique peut en tirer des orientations pour la littérature vivante, celle qui continue de s’écrire. Cet ouvrage se veut un jalon nécessaire pour une saisie raisonnée de la littérature togolaise.
RECONNAISANCE
Reconnaissance rassemble des chroniques et des essais que Théo Ananissoh a publiés entre 2011 et 2021 dans la revue littéraire L’Atelier du roman, en France. Dix années d’écrits réguliers tout en accomplissant ses romans. Des écrits où il lit et relie d’autres romans, anciens ou contemporains, au monde tel que nous le vivons – d’où un aspect autobiographique bien pertinent. Ananissoh traite de Chinua Achebe, de Mongo Beti ou d’Ahmadou Kourouma, mais aussi de Charles Dickens, d’Ernest Hemingway, de Karen Blixen ou encore de V. S. Naipaul. Autant de lecteurs, autant de romans, affirme-t-il. Le lecteur aussi accomplit l’œuvre de fiction, c’est évident. Ananissoh, ici, est pleinement lecteur ; un lecteur d’Afrique, dirions-nous, imprégné de ce continent et de son destin particulier. Sa lecture de ces écrivains d’ici et d’ailleurs enrichit notre compréhension de leurs œuvres, et nous éclaire sur nous-mêmes par rapport au monde. Au fil de ces chroniques et de ces essais, nous découvrons ou redécouvrons ainsi de fructueuses résonances chez des écrivains qui nous semblaient a priori éloignés comme André Gide, Ismaïl Kadaré, François Mauriac ou encore Leonardo Sciascia. Mine de rien, ces écrits, toujours limpides, nous donnent à voir les choses – osons-le – depuis une fenêtre qui est bien nôtre. Il n’est pas si fréquent qu’un romancier d’Afrique consacre du temps à explorer ainsi le réel par le biais de la lecture. Théo Ananissoh le fait ici avec la conviction que cela appartient à son œuvre d’écrivain.
Ainsi parlait Bernard Dadié
En janvier 2016, Bernard Dadié a eu 100 ans. En 100 paragraphes choisis, le présent recueil passe en revue les temps forts de la prise de parole publique de l’écrivain. Conforme à son idéal de liberté et d’humanisme, l’écrivain a pris position, de 1933 à 2019, année de sa disparition survenue à 103 ans. Par sa rigueur, sa pertinence et sa constance, Dadié laisse dans le paysage de l’écriture et du militantisme en Afrique voire dans le monde, un modèle de courage, de fidélité et de conviction ; un modèle restituant au statut d’intellectuel, tout son sens de Phare ultime de la Cité !
Dans le présent recueil de pensées, Josué Guébo offre un condensé saisissant de la pensée politique et artistique d’un des pères de la littérature africaine d’expression francophone : Bernard Dadié.
Politique étrangère du Togo : une décennie d’offensive diplomatique
« Le présent ouvrage est l’un des rares livres essentiellement consacrées à la politique étrangère du Togo. Il est d’autant plus intéressant qu’il est le produit d’un diplomate togolais qui partage ses propres diagnostics des orientations qui gouvernent sa profession. L’exercice peut être comparé à une espèce d’auto-écriture ou d’« herméneutique de soi » qui permet d’éclairer quiconque s’intéresse au Togo et à sa politique étrangère. Le soi ricourien est un soi capable et agissant, et Steve Bodjona a bien voulu joindre l’écriture à son travail quotidien de diplomate en rédigeant cet ouvrage. »
Extrait de la préface du Professeur Robert DUSSEY, Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération et de l’Intégration Régionale du Togo
GUIDE PRATIQUE A L’USAGE DU CORPS DIPLOMATIQUE, CONSULAIRE, ET DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES ACCREDITES AU TOGO
« Il importe de souligner également que les bénéficiaires des privilèges et immunités diplomatiques sont, pour leur part, tenus au strict respect des lois et règlements en vigueur au Togo selon l’esprit des dispositions pertinentes de l’article 41 de la convention de Vienne de 1961 sur les relations diplomatiques.
PROCESSUS D’OCTROI DE CREDIT AU SEIN D’UNE INSTITUTION FINANCIERE
Le processus d’octroi de crédit prend en compte donc la maitrise du risque lié au client puis passe par l’analyse économique et financière de la société tout en retraçant son historique et celui de ses dirigeants. Et pour faire le pont entre la relation et la mise en place des concours, une contre analyse sera faite par les Experts ou Spécialistes Risques-crédit qui doivent statuer sur le financement ou non de l’activité du client. C’est à la suite de leur décision que les garanties devront être formalisées afin que la mise en place ne soit effective et suivie du déblocage des fonds. Toutefois, il revient donc au chargé de clientèle de programmer son échéancier sur la base du tableau d’amortissement définitif pour un bon dénouement du concours. Telles sont les étapes résumées dans notre guide afin de vous aider à atteindre l’excellence.
Les « hommes de Dieu » dans la cité africaine
ntre les personnes qui souhaitent que les “hommes de Dieu” descendent dans l’arène politique et celles qui pensent que le rôle de ces derniers est strictement spirituel, l’auteur estime que, pour combattre la misère, l’injustice, l’oppression, la corruption, le néocolonialisme, etc., prêtres, pasteurs et imams ne sont pas obligés de militer dans des partis politiques ou d’exercer des charges publiques (député, maire, ministre ou président de la République). Pour lui, les “hommes de Dieu” peuvent contribuer à la stabilité et à la bonne marche de la Cité en dénonçant les discours et comportements susceptibles de porter atteinte au vivre-ensemble. Cela suppose qu’ils soient financièrement indépendants des hommes politiques qui n’aiment pas toujours être contredits ou interpellés sur leur gestion du bien commun.
Jean-Claude Djéréké montre ainsi que l’annonce de la Parole de Dieu et le prophétisme sont deux choses inséparables et que, pour parler valablement et sérieusement d’amour et de paix, il est urgent et nécessaire de s’attaquer aux mensonges, aux injustices économiques, sociales ou politiques qui chaque jour tirent nos pays d’Afrique francophone vers le bas.
Vision prospective du financement des économies de la zone UEMOA à travers l’intelligence économique
« Le mot « guerre » revient comme élément de langage dans divers discours et domaines à chaque fois qu’on entrevoit une crise qui n’est plus que militaire ou sécuritaire mais parfois climatique, sanitaire, commerciale (guerre commerciale) voire économique (guerre économique) ou financière. Alors, dès qu’on ajoute à ces réflexions, la vieille expression bien familière des banques « l’Argent est le Nerf de la guerre », on se rend vite compte que toute guerre requiert du Génie donc de l’Intelligence. Et c’est de ce prisme pertinent de l’Intelligence Economique que cet ouvrage emprunte son titre. L’auteur y a abordé de manière assez synthétique l’histoire de notre environnement bancaire, son évolution, ses grandes réformes et mutations en matière de gestion des risques sans faire l’économie d’une réflexion sur les perspectives à venir. »
Mamadou Igor DIARRA
Ancien Ministre de l’Economie et des Finances (Mali)
Le vodun ne fait pas rêver
« …Dans le fond, et au demeurant, la question sous-jacente à ce livre ne rejoint-elle pas la question fondamentale que pose l’esprit de l’athéisme que nous trouvons chez André Comte-Sponville et qui par ailleurs fut le thème de la récente conférence de carême à Notre Dame de Paris au cours de laquelle l’illustre et distingué conférencier Guillaume de Menthière invitait à démasquer les ombres et chasser les ténèbres, en essayant de répondre en notre âme et conscience à la question : « Allons-nous quelque part ? » et en l’occurrence, « allons-nous quelque part avec le vodun ? ». Œuvrer ainsi, c’est rendre service à ce que nous considérons comme un précieux héritage culturel du Bénin et de la diaspora noire en général.
Fictions africaines et écriture de démesure
Les fictions africaines, dans le cas de cette analyse, sont un ensemble de quelques œuvres africaines engendrées par le fait colonial, les faits sociaux d’après la colonisation ; bref la vie quotidienne des sociétés africaines. Les auteurs de ces fictions, dans leur démarche créatrice, se devaient de respecter les normes et les idéologies du centre ou de la métropole puisque c’était l’ère du conformisme adopté par certains précurseurs du roman africain tels que Félix Couchoro, Paul Hazoumé, David Ananou et bien d’autres. La notion de démesure reste intrinsèquement liée à la quête de liberté, de l’identité sinon de l’authenticité des valeurs africaines. La démesure se manifeste de diverses manières dans les fictions africaines : elle est synonyme de décentrement, à tous égards, de l’ancienne métropole qui n’est plus référentielle et dont la langue, le français hexagonal aussi rigide, ne favorise pas la traduction véritable des réalités africaines.
A cet effet, les œuvres ne peuvent être comprises qu’à travers l’exploitation de certains outils d’analyse dont se sert le lecteur.
Ce que les anciens m’ont dit sur Kouvé
Les Kouvé avaient, à leur arrivée, des mœurs et des rites amenés de Notsé et qui se sont altérés avec le temps. Le village en conserve encore néanmoins bon nombre. Il n’est guère possible de les transcrire tous dans le cadre des informations recueillies à l’occasion de cette 5ème édition de Hogbeza. Il faut procéder à un tri. Aussi sommes-nous borné à interroger des personnes sur les rites concernant la naissance et la »sortie de bébé », les mœurs en matière de mariage, les activités économiques, la maîtrise de la pluie, l’habitat et l’habillement, les croyances religieuses et les pratiques divinatoires, les activités artistiques et distractives.