Un tunnel sans bout
4.000 CFA
Tout comme dans ses précédentes œuvres, Jeannette AHONSOU est toujours attachée dans Un tunnel sans bout, aux questions liées à la condition féminine.
De nationalité togolaise, Jeannette AHONSOU est née en 1954 à Lavié-Huimé dans la préfecture de Kloto. Nantie d’une Licence ès Lettres à l’Université du Bénin, actuelle Université de Lomé, elle a exercé en qualité de Professeur de Lettres, Option Anglais. Depuis sa retraite, elle consacre sa vie à l’écriture et est auteure de l’ouvrage Une longue histoire, roman qui lui a valu le Prix Littéraire France-Togo en 1995.
Œuvre similaires
La plume carcérale
« Avec un réalisme cru, notre talentueux écrivain nigérien nous dévoile l’intérieur de sa boule de cristal ; un monde qu’il a fabriqué de toutes pièces. Nous y découvrons, non sans étonnement, une société malade de ses pratiques et de ses hommes, un microcosme délité devenu tortionnaire de ses propres enfants.
Les larmes de crocodile du Messie
Cet ouvrage est donc l’émanation des situations que l’entourage de l’auteur a l’habitude de vivre au quotidien. Il est aussi le reflet des témoignages des victimes des situations d’urgence, créées par des mains humaines. Les Larmes de Crocodile du Messie est enfin un ouvrage qui résulte de l’interaction avec le personnel humanitaire qui constitue la trame des convictions que l’auteur partage avec le lecteur dans un extraordinaire franc-parler. Comme disait Albert Einstein, « si le monde est cruel, ce n’est pas à cause de ceux qui font le mal, mais ceux qui les regardent et laissent faire ».
Rêver de tout sauf d’immigrer clandestinement
Conscient que le développement de l’Afrique repose sur sa jeunesse qui pour des raisons connus de tous prennent la route de la migration au risque de leur vie, ce recueil se veut donc une aide à tous les jeunes qui par méconnaissance se voit obligé de quitter leur pays pour un monde meilleur.
La mauvaise foi ne se présume pas
La société contemporaine met en scène des acteurs plus ou moins honnêtes ; dans ce contexte, les plus malins pour ne pas dire les plus forts, tirent souvent leur épingle du jeu. Mais ce n’est pas dans tous les cas que le plus faible perd. La situation se retourne des fois contre les mafieux. D’autres prennent leur mal en patience, et transforment une situation qui leur a été défavorable en bonheur. C’est ainsi que contre les adversités et contre vent et marrées, des hommes tirent le meilleur des pires situations. Toutes ces situations, l’auteur qui n’est pas à son coup d’essai, les mets en exergue dans ces nouvelles qui ont des titres évocateurs : les voies de Dieu sont impénétrables, on ne vend pas la peau d’un ours avant de l’avoir tué, la démocratie du plus fort est toujours la meilleure comme le chante Alpha BLONDY, mauvaise foi ? Et le réactionnaire. A travers ces textes, l’auteur essaie de vous faire voyager à travers son époque. Ce qui nous fait l’appeler, témoin de son époque.
Erreur fatale
« J’ai été jugée et condamnée à dix ans de prison pour un crime que je n’avais pas commis. La nature me faisait sûrement payer mes crimes passés pour lesquels j’avais échappé à toute poursuite. J’en paye le prix fort. Du fond de ma cellule, je prie pour ma mère même si je lui en veux toujours. Je prie pour elle car je sais que depuis mon arrestation elle ne cesse de pleurer. Au procès, chaque fois que je tournais mon regard vers elle, du bout des lèvres, elle me murmurait: »je te demande pardon, Mira ». »
Les marmailleurs
L’aiguille de la montre indiquait vingt-deux heures quinze. Couché dans son lit, il revoyait en boucle, le film de la journée, en particulier, la séquence de son arrestation. Deux jours avant les épreuves, les parents d’élèves défilaient sous ses yeux. Il finit par tendre la main. Un cas, deux, trois, quatre, dix, vingt avaient déposé une enveloppe. Gagné par l’ivresse du gain facile, il avait manqué d’attention.
La plus belle maman
Un événement inédit : la Mairie lance le concours de la plus belle maman du village. Le petit Cossi y inscrit sa mère. Celle-ci, consciente de sa laideur physique, refuse d’y prendre part. Mais l’enfant, convaincu que sa mère est la plus belle de toutes les mamans du village, réussit à lui faire changer d’avis. Et le miracle se produit.
« La plus belle maman » est la célébration de la beauté du cœur, un réquisitoire contre l’intolérance et un plaidoyer en faveur des exclus et des mal-aimés de la société.
Pernicieuse révélation
Orpheline de père et de mère, Gisela a toujours vécu avec sa tante. Friande des TIC, elle connut son premier amour via internet. L’expérience a été terrible, puisqu’elle tomba sur un séducteur narcissique, cruel et mythomane qui ne cherchait qu’à batifoler. L’épreuve n’en resta pas là pour notre jeune orpheline et la vie lui révèlera sa vraie couleur au fil des pages, entre tragédie, blessure et trahison. Gisela, avec persévérance, tentera tant bien que mal de s’en sortir.
Cette histoire, tourne en dérision les mœurs de cœur, relatives aux relations à distance en ce qui concerne nos frères africains, vivant en Occident et nos jeunes sœurs résidant encore au pays.
Le plan de Dieu
LE PLAN DE DIEU en lui-même, est un témoignage rendu par Gratien à Dieu. C’est la manifestation de sa reconnaissance au Seigneur, une glorification pour la transformation qu’il a opérée dans sa vie. C’est aussi une manière de révéler au lecteur, celui que Gratien était.
AU COMMENCEMENT ETAIT LE GLAIVE
Au cœur oublié de l’Afrique, en lisière des grands fleuves, des déserts infinis, des volcans mal éteints, Hamouris et Bamounas fourbissent leurs glaives. Ennemis depuis le commencement, le peuple de la cité et la tribu des forêts sont prêts, cette fois, à s’exterminer. Sans pitié. Sans limite. Sans repentir. Dans l’ivresse génocidaire. Le mal est-il inévitable dans l’histoire ? L’espérance est-elle condamnée au silence ? Et le seul sacrifice des femmes peut-il racheter la folie des hommes ? Sur fond de mânes des ancêtres et de chiens de guerre, de filles gazelles et de sorciers maudits, d’amours telluriques et de rires sanglants, c’est tout un continent que chante Edem KODJO.
Charnel, incantatoire, voici un roman-univers en forme de parabole implacable sur le temps présent.
LE JUSTE PRIX
Traitant de thèmes variés, amour et faits de société entre autres, elle a publié en 2013 chez L’Harmattan à Paris, son premier roman ‘’Rose est la couronne d’épines’’. Elle nous revient avec ‘’Le juste prix’’, fruit d’une mouture du premier roman.
Vas-y voir
Dans ce livre qui s’ouvre sur un voyage passionnant au petit village appelé Gnignon Copé, pays des rêves, Komla AGBENOSSI expose l’histoire de sa vie. Le lecteur s’y voit entraîné dans les montagnes russes d’un voyage émotionnel avec des hauts et des bas du parcours de vie de l’auteur. Ce récit autobiographique lève donc le voile sur les souvenirs d’enfance de l’auteur et le chemin ardu qu’il a dû emprunter jusqu’à l’obtention de ses diplômes. C’est le film des péripéties qui ont jalonné le périple d’un immigrant, avec des détails sur les événements qui ont changé sa vie, de Tchagba à Lomé à l’Aéroport John Fitzgerald Kennedy à New York.
Corneille AGBENOSSI, dans l’impossibilité d’échapper à son passé après son refuge en Amérique, vient partager avec ses compatriotes, immigrés ou restés au pays, les expériences de l’incroyable histoire d’un homme qui a surmonté les vicissitudes de la vie à travers un combat perpétuel pour la réussite.