Un tunnel sans bout
4.000 CFA
Tout comme dans ses précédentes œuvres, Jeannette AHONSOU est toujours attachée dans Un tunnel sans bout, aux questions liées à la condition féminine.
De nationalité togolaise, Jeannette AHONSOU est née en 1954 à Lavié-Huimé dans la préfecture de Kloto. Nantie d’une Licence ès Lettres à l’Université du Bénin, actuelle Université de Lomé, elle a exercé en qualité de Professeur de Lettres, Option Anglais. Depuis sa retraite, elle consacre sa vie à l’écriture et est auteure de l’ouvrage Une longue histoire, roman qui lui a valu le Prix Littéraire France-Togo en 1995.
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La mauvaise foi ne se présume pas
La société contemporaine met en scène des acteurs plus ou moins honnêtes ; dans ce contexte, les plus malins pour ne pas dire les plus forts, tirent souvent leur épingle du jeu. Mais ce n’est pas dans tous les cas que le plus faible perd. La situation se retourne des fois contre les mafieux. D’autres prennent leur mal en patience, et transforment une situation qui leur a été défavorable en bonheur. C’est ainsi que contre les adversités et contre vent et marrées, des hommes tirent le meilleur des pires situations. Toutes ces situations, l’auteur qui n’est pas à son coup d’essai, les mets en exergue dans ces nouvelles qui ont des titres évocateurs : les voies de Dieu sont impénétrables, on ne vend pas la peau d’un ours avant de l’avoir tué, la démocratie du plus fort est toujours la meilleure comme le chante Alpha BLONDY, mauvaise foi ? Et le réactionnaire. A travers ces textes, l’auteur essaie de vous faire voyager à travers son époque. Ce qui nous fait l’appeler, témoin de son époque.
REGENERATION
Frappé par la poliomyélite à l’âge de cinq ans, l’auteur perd l’usage de ses jambes. Contre la nature et contre la prédiction des hommes, à force de courage et de privations, il a su surmonter les entraves du handicap pour atteindre son objectif, celui d’être utile à la société.
Sur les routes sanglantes de l’exil
Ce roman nous mène dans les tristes réalités de la guerre qui constitue la vie en amont des réfugiés. Il ne s’agit pas seulement des crépitements de balles mais surtout d’une histoire d’amour pleine d’émotions, de larmes de joie et de peine et entrecoupé de suspens qui se vit d’abord dans un pays noyé dans la guerre et ensuite sur une terre d’asile.
Pernicieuse révélation
Orpheline de père et de mère, Gisela a toujours vécu avec sa tante. Friande des TIC, elle connut son premier amour via internet. L’expérience a été terrible, puisqu’elle tomba sur un séducteur narcissique, cruel et mythomane qui ne cherchait qu’à batifoler. L’épreuve n’en resta pas là pour notre jeune orpheline et la vie lui révèlera sa vraie couleur au fil des pages, entre tragédie, blessure et trahison. Gisela, avec persévérance, tentera tant bien que mal de s’en sortir.
Cette histoire, tourne en dérision les mœurs de cœur, relatives aux relations à distance en ce qui concerne nos frères africains, vivant en Occident et nos jeunes sœurs résidant encore au pays.
SASSOU OU LES REVERS DU DESTIN
C’est l’histoire de toute personne embarquée dans la vie d’une société humaine faite de tragédie, de jalousie, de suspicion, qui lui réserve bien des surprises.
L’amour…ce doux vertige
L’amour, ce doux vertige est un recueil de six nouvelles liées par une même thématique. Macaire ETTY, d’une plume libérée, exploite l’amour sous toutes ses facettes. Si l’amour ouvre le chemin du bonheur en propulsant l’élu au statut de héros, il est aussi le lieu du tourment et du doute. Jalousie, passion, haine, plénitude s’entremêlent pour faire du royaume de Cupidon, un champ de tourbillons et de vertiges. Les personnages mis en situation ici, comme des possédés, se laissent conduire par leur cœur dans des aventures dont l’issue est souvent incertaine. Avec délicatesse, l’artiste offre au lecteur, un moment unique de délectation.
Lungi, le récit d’une tragédie
“L’un des plus tristes et douloureux évènements sur le parcours de notre football, ce tragique crash d’hélicoptère qui a anéanti dans l’effroi et pour toujours à Lungi, des parents, des amis, des papas, des mamans, oncles, tantes, frères, sœurs, bref, des compatriotes, dont le seul péché est l’amour du ballon rond, continue de hanter notre conscience collective voilà une décennie.
C’est en réalité cette hécatombe qui n’est pas entrée dans l’Histoire comme il se doit, que tente de rendre mémorable par voie d’écriture, Pierrot Attiogbé. Témoin oculaire, le journaliste Pierrot Attiogbé, membre de la délégation togolaise en Sierra Leone, se saisit de sa plume pour immortaliser cette affre. Cet ouvrage à quintessence insoupçonnée, et au demeurant historique, reprend de manière saisissante et sélective, des témoignages de proches parents de quelques-unes des victimes.”
La plume carcérale
« Avec un réalisme cru, notre talentueux écrivain nigérien nous dévoile l’intérieur de sa boule de cristal ; un monde qu’il a fabriqué de toutes pièces. Nous y découvrons, non sans étonnement, une société malade de ses pratiques et de ses hommes, un microcosme délité devenu tortionnaire de ses propres enfants.
LE JUSTE PRIX
Traitant de thèmes variés, amour et faits de société entre autres, elle a publié en 2013 chez L’Harmattan à Paris, son premier roman ‘’Rose est la couronne d’épines’’. Elle nous revient avec ‘’Le juste prix’’, fruit d’une mouture du premier roman.
UN DESTIN TRAGIQE
UN DESTIN TRAGIQUE est un roman composé de quatre chapitres dont Entre la vie et la mort, L’amour précoce, le VIH, et La rencontre divine. Chaque chapitre traite d’une problématique liée aux maux qui gangrènent la société d’aujourd’hui. L’auteur, Professeur de philosophie et diplomate, consacre sa plume au VIH SIDA qui ravage encore aujourd’hui, mais ignoré au profit de la Covid-19. Malgré son emploi du temps hyper chargé, le Ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration Régionale et des Togolais de l’Extérieur contribue au combat contre la maladie du siècle à travers ce roman à couper le souffle au lecteur.
Mon nom est Horizon
Un garçon africain de 11 ans découvre dans un livre dont il tait le titre et le contenu, sa passion pour la langue française. Il ressent alors une vocation à aller »faire France », c’est-à-dire : enrichir cette langue sur sa propre terre, en signe de reconnaissance, avec les richesses de sa langue maternelle (le Mina) et de sa culture togolaise. Le voilà alors embarqué dans une aventure chaotique où il découvrira les hauts et les bas de l’esprit humain, dans la quête et la conquête du mot du siècle : le mot censé résumer le 21ième siècle tout en lui fixant son défi. Quel est ce mot ? Quel est ce mot dont la quête le ramène sur sa terre natale pour le reconnecter avec l’esprit de ses aïeux ? Comment résume-t-il notre ère ?
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« J’ai été jugée et condamnée à dix ans de prison pour un crime que je n’avais pas commis. La nature me faisait sûrement payer mes crimes passés pour lesquels j’avais échappé à toute poursuite. J’en paye le prix fort. Du fond de ma cellule, je prie pour ma mère même si je lui en veux toujours. Je prie pour elle car je sais que depuis mon arrestation elle ne cesse de pleurer. Au procès, chaque fois que je tournais mon regard vers elle, du bout des lèvres, elle me murmurait: »je te demande pardon, Mira ». »