LE JUSTE PRIX
4.000 CFA
Traitant de thèmes variés, amour et faits de société entre autres, elle a publié en 2013 chez L’Harmattan à Paris, son premier roman ‘’Rose est la couronne d’épines’’. Elle nous revient avec ‘’Le juste prix’’, fruit d’une mouture du premier roman.
De nationalité togolaise, Gina de FANTI est née et vit à Lomé. Amoureuse de la littérature, elle voue depuis son adolescence, une très grande passion pour la lecture et l'écriture.
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Tchila, l’infirmière véreuse
« Les soins infirmiers, cette noble fonction qu’avaient exercée nos prédécesseurs avec fierté, sont devenus aujourd’hui un métier de tout le monde. C’était un métier de valeur dans les
Les marmailleurs
L’aiguille de la montre indiquait vingt-deux heures quinze. Couché dans son lit, il revoyait en boucle, le film de la journée, en particulier, la séquence de son arrestation. Deux jours avant les épreuves, les parents d’élèves défilaient sous ses yeux. Il finit par tendre la main. Un cas, deux, trois, quatre, dix, vingt avaient déposé une enveloppe. Gagné par l’ivresse du gain facile, il avait manqué d’attention.
SASSOU OU LES REVERS DU DESTIN
C’est l’histoire de toute personne embarquée dans la vie d’une société humaine faite de tragédie, de jalousie, de suspicion, qui lui réserve bien des surprises.
Les ronces de l’amour
Dans un style simple et facile à lire, Steve BODJONA nous fait voyager dans une histoire de cœur au travers de laquelle il peint certaines réalités de nos sociétés et conscientise la jeunesse sur les enjeux de son épanouissement.
Un tunnel sans bout
Tout comme dans ses précédentes œuvres, Jeannette AHONSOU est toujours attachée dans Un tunnel sans bout, aux questions liées à la condition féminine.
Rêver de tout sauf d’immigrer clandestinement
Conscient que le développement de l’Afrique repose sur sa jeunesse qui pour des raisons connus de tous prennent la route de la migration au risque de leur vie, ce recueil se veut donc une aide à tous les jeunes qui par méconnaissance se voit obligé de quitter leur pays pour un monde meilleur.
Erreur fatale
« J’ai été jugée et condamnée à dix ans de prison pour un crime que je n’avais pas commis. La nature me faisait sûrement payer mes crimes passés pour lesquels j’avais échappé à toute poursuite. J’en paye le prix fort. Du fond de ma cellule, je prie pour ma mère même si je lui en veux toujours. Je prie pour elle car je sais que depuis mon arrestation elle ne cesse de pleurer. Au procès, chaque fois que je tournais mon regard vers elle, du bout des lèvres, elle me murmurait: »je te demande pardon, Mira ». »
Nourah, la martyre de l’adolescence
Nourah en tombera enceinte. Mais comment en parler à ses parents ? Comment Cédric réagira-t-il ? Pour quelle raison publiera-t-il les photos nues de sa bien-aimée sur les réseaux sociaux ? Qu’est-ce qui obligera l’adolescente à décider de se suicider ? Bref, il s’agit d’une aventure à plusieurs équations qui permet de mettre en exergue les défis liés à l’âge de la puberté, l’impact du faible dialogue entre parents et adolescents autour de la sexualité ainsi que l’influence des réseaux sociaux sur leur éducation scolaire. Cet ouvrage illustré est écrit dans un style simple et accessible à tous dont une partie est consacrée à dix questions importantes sur l’éducation sexuelle. Il est vivement recommandé aux adolescents, aux jeunes, aux parents et aux enseignants.
La mauvaise foi ne se présume pas
La société contemporaine met en scène des acteurs plus ou moins honnêtes ; dans ce contexte, les plus malins pour ne pas dire les plus forts, tirent souvent leur épingle du jeu. Mais ce n’est pas dans tous les cas que le plus faible perd. La situation se retourne des fois contre les mafieux. D’autres prennent leur mal en patience, et transforment une situation qui leur a été défavorable en bonheur. C’est ainsi que contre les adversités et contre vent et marrées, des hommes tirent le meilleur des pires situations. Toutes ces situations, l’auteur qui n’est pas à son coup d’essai, les mets en exergue dans ces nouvelles qui ont des titres évocateurs : les voies de Dieu sont impénétrables, on ne vend pas la peau d’un ours avant de l’avoir tué, la démocratie du plus fort est toujours la meilleure comme le chante Alpha BLONDY, mauvaise foi ? Et le réactionnaire. A travers ces textes, l’auteur essaie de vous faire voyager à travers son époque. Ce qui nous fait l’appeler, témoin de son époque.
Le plan de Dieu
LE PLAN DE DIEU en lui-même, est un témoignage rendu par Gratien à Dieu. C’est la manifestation de sa reconnaissance au Seigneur, une glorification pour la transformation qu’il a opérée dans sa vie. C’est aussi une manière de révéler au lecteur, celui que Gratien était.
Le lion et le trône
Ce roman est construit sur la trame du récit d’un événement historique qui a marqué son village natal : l’arrivée d’un lion dans les champs. Ce dernier avait mis ses pattes dans un piège à gibier et avait constitué une menace pour la population durant quelques jours. Les guerriers du village avaient réussi à abattre le fauve mais il avait aussi fait une victime parmi la population.
Autour de cette charpente, Augustin Komivi Nyuiava MOSSI a brodé les problèmes qui assaillent la vie des populations des villages africains dans un contexte global de pauvreté et de retard de développement. Il s’agit d’une part, des oppositions entre les croyances ancestrales et la foi chrétienne avec souvent, des excès de zèle, source de superstitions et de comportements irrationnels, et d’autre part, la problématique du pouvoir, à l’origine de conflits permanents, quelle que soit la manière dont il est acquis et quel que soit le niveau auquel il est exercé.
La baronne
« Évoquée sous le signe de l’ellipse, l’histoire ramène à l’itinéraire d’une jeune femme du monde rural qui, passée de l’ambiance rustique aux ors citadins, s’imagine avoir découvert le bonheur. Pourtant, à présenter l’intrigue sous un tel angle, l’on court le risque d’en perdre les cordes les plus significatives. Amour, haine, vengeance, lucre, infidélité, hypocrisie et quiproquo, Patricia Hourra dépeint en fait les mœurs d’un temps où couples asymétriques et romances fumigènes s’abîment en lignes polyphoniques. De l’univers ainsi créé, percent au moins quatre thématiques : la dominance patriarcale, la complicité implicite du silence, l’exploitation de la misère sociale et la justice destinale. »