Rêver de tout sauf d’immigrer clandestinement
2.500 CFA
Conscient que le développement de l’Afrique repose sur sa jeunesse qui pour des raisons connus de tous prennent la route de la migration au risque de leur vie, ce recueil se veut donc une aide à tous les jeunes qui par méconnaissance se voit obligé de quitter leur pays pour un monde meilleur.
De nationalité togolaise, Atsu Venunye BASSAH est né le 05 février 1990 à Danyi Bassafé (Togo). Après des études de psychologie clinique, psychopathologie et de santé à l'Université de Lomé, puis de psycho criminologie (Psychologie et Justice) et Migrations Internationales à Lille –Poitiers en France, il est actuellement Doctorant à l'Université de Téluq (Montréal) et également Consultant à l'Agence des Nations Unies, l'Organisation Internationale pour les Migrations (UN-OIM) au Niger.
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La plus belle maman
Un événement inédit : la Mairie lance le concours de la plus belle maman du village. Le petit Cossi y inscrit sa mère. Celle-ci, consciente de sa laideur physique, refuse d’y prendre part. Mais l’enfant, convaincu que sa mère est la plus belle de toutes les mamans du village, réussit à lui faire changer d’avis. Et le miracle se produit.
« La plus belle maman » est la célébration de la beauté du cœur, un réquisitoire contre l’intolérance et un plaidoyer en faveur des exclus et des mal-aimés de la société.
DANSE AVEC MOI
Danse avec moi est sa première publication littéraire, un recueil de nouvelles et récits qui abordent des sujets comme la colonisation, l’immigration, la condition féminine… Surréalistes, absurdes ou d’une facture plus classique, ces histoires marient toujours l’humour à une écriture très originale et offrent un regard inattendu sur le monde occidental et africain.
Pernicieuse révélation
Orpheline de père et de mère, Gisela a toujours vécu avec sa tante. Friande des TIC, elle connut son premier amour via internet. L’expérience a été terrible, puisqu’elle tomba sur un séducteur narcissique, cruel et mythomane qui ne cherchait qu’à batifoler. L’épreuve n’en resta pas là pour notre jeune orpheline et la vie lui révèlera sa vraie couleur au fil des pages, entre tragédie, blessure et trahison. Gisela, avec persévérance, tentera tant bien que mal de s’en sortir.
Cette histoire, tourne en dérision les mœurs de cœur, relatives aux relations à distance en ce qui concerne nos frères africains, vivant en Occident et nos jeunes sœurs résidant encore au pays.
La mauvaise foi ne se présume pas
La société contemporaine met en scène des acteurs plus ou moins honnêtes ; dans ce contexte, les plus malins pour ne pas dire les plus forts, tirent souvent leur épingle du jeu. Mais ce n’est pas dans tous les cas que le plus faible perd. La situation se retourne des fois contre les mafieux. D’autres prennent leur mal en patience, et transforment une situation qui leur a été défavorable en bonheur. C’est ainsi que contre les adversités et contre vent et marrées, des hommes tirent le meilleur des pires situations. Toutes ces situations, l’auteur qui n’est pas à son coup d’essai, les mets en exergue dans ces nouvelles qui ont des titres évocateurs : les voies de Dieu sont impénétrables, on ne vend pas la peau d’un ours avant de l’avoir tué, la démocratie du plus fort est toujours la meilleure comme le chante Alpha BLONDY, mauvaise foi ? Et le réactionnaire. A travers ces textes, l’auteur essaie de vous faire voyager à travers son époque. Ce qui nous fait l’appeler, témoin de son époque.
Lungi, le récit d’une tragédie
“L’un des plus tristes et douloureux évènements sur le parcours de notre football, ce tragique crash d’hélicoptère qui a anéanti dans l’effroi et pour toujours à Lungi, des parents, des amis, des papas, des mamans, oncles, tantes, frères, sœurs, bref, des compatriotes, dont le seul péché est l’amour du ballon rond, continue de hanter notre conscience collective voilà une décennie.
C’est en réalité cette hécatombe qui n’est pas entrée dans l’Histoire comme il se doit, que tente de rendre mémorable par voie d’écriture, Pierrot Attiogbé. Témoin oculaire, le journaliste Pierrot Attiogbé, membre de la délégation togolaise en Sierra Leone, se saisit de sa plume pour immortaliser cette affre. Cet ouvrage à quintessence insoupçonnée, et au demeurant historique, reprend de manière saisissante et sélective, des témoignages de proches parents de quelques-unes des victimes.”
REGENERATION
Frappé par la poliomyélite à l’âge de cinq ans, l’auteur perd l’usage de ses jambes. Contre la nature et contre la prédiction des hommes, à force de courage et de privations, il a su surmonter les entraves du handicap pour atteindre son objectif, celui d’être utile à la société.
Sexe faible, maillon fort
“Une gêne, mêlée à de l’empathie, qui rappelle l’urgence d’agir pour ces femmes. La vérité de ce livre, c’est qu’il raconte une histoire vraie, donc proche et dont le scénario s’écrit sous nos yeux dans l’indifférence générale. L’ignorance de la maladie dans l’opinion publique amplifie vraisemblablement l’insensibilité générale à la douleur de ces femmes. Et pourtant, la fistule obstétricale fait des ravages dans nos sociétés africaines. Elle semble une maladie des pauvres et des pays pauvres parce qu’elle a disparu sous les latitudes des pays riches et développés…”
Un tunnel sans bout
Tout comme dans ses précédentes œuvres, Jeannette AHONSOU est toujours attachée dans Un tunnel sans bout, aux questions liées à la condition féminine.
AU COMMENCEMENT ETAIT LE GLAIVE
Au cœur oublié de l’Afrique, en lisière des grands fleuves, des déserts infinis, des volcans mal éteints, Hamouris et Bamounas fourbissent leurs glaives. Ennemis depuis le commencement, le peuple de la cité et la tribu des forêts sont prêts, cette fois, à s’exterminer. Sans pitié. Sans limite. Sans repentir. Dans l’ivresse génocidaire. Le mal est-il inévitable dans l’histoire ? L’espérance est-elle condamnée au silence ? Et le seul sacrifice des femmes peut-il racheter la folie des hommes ? Sur fond de mânes des ancêtres et de chiens de guerre, de filles gazelles et de sorciers maudits, d’amours telluriques et de rires sanglants, c’est tout un continent que chante Edem KODJO.
Charnel, incantatoire, voici un roman-univers en forme de parabole implacable sur le temps présent.
Sur les routes sanglantes de l’exil
Ce roman nous mène dans les tristes réalités de la guerre qui constitue la vie en amont des réfugiés. Il ne s’agit pas seulement des crépitements de balles mais surtout d’une histoire d’amour pleine d’émotions, de larmes de joie et de peine et entrecoupé de suspens qui se vit d’abord dans un pays noyé dans la guerre et ensuite sur une terre d’asile.
Les ronces de l’amour
Dans un style simple et facile à lire, Steve BODJONA nous fait voyager dans une histoire de cœur au travers de laquelle il peint certaines réalités de nos sociétés et conscientise la jeunesse sur les enjeux de son épanouissement.
L’œil des coulisses
Avec L’œil des coulisses, que votre jubilation soit pure, exaltante, pérenne et accoucheuse de bonnes idées pour que les femmes soient « femme et mères et non objets de jouissance », pour que si les femmes « refusent de faire des hommes, des hommes vraiment responsables, que les hommes apprennent aux femmes à être femmes » afin que le monde ait un autre visage et présente un autre cadre où il fait bon vivre
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