Les ronces de l’amour
2.500 CFA
Dans un style simple et facile à lire, Steve BODJONA nous fait voyager dans une histoire de cœur au travers de laquelle il peint certaines réalités de nos sociétés et conscientise la jeunesse sur les enjeux de son épanouissement.
Diplomate de carrière, Steve BODJONA est initiateur de divers événements littéraires au Togo dont, la Foire Internationale du Livre de Lomé et les Régionales du Livre.
Auteur de nombreux ouvrages, il préside le Club Le Littéraire, association qui regroupe de jeunes écrivains et autres férus de littérature du livre pour la promotion du livre et de la lecture.
Œuvre similaires
Un tunnel sans bout
Tout comme dans ses précédentes œuvres, Jeannette AHONSOU est toujours attachée dans Un tunnel sans bout, aux questions liées à la condition féminine.
La plume carcérale
« Avec un réalisme cru, notre talentueux écrivain nigérien nous dévoile l’intérieur de sa boule de cristal ; un monde qu’il a fabriqué de toutes pièces. Nous y découvrons, non sans étonnement, une société malade de ses pratiques et de ses hommes, un microcosme délité devenu tortionnaire de ses propres enfants.
LE JUSTE PRIX
Traitant de thèmes variés, amour et faits de société entre autres, elle a publié en 2013 chez L’Harmattan à Paris, son premier roman ‘’Rose est la couronne d’épines’’. Elle nous revient avec ‘’Le juste prix’’, fruit d’une mouture du premier roman.
AU COMMENCEMENT ETAIT LE GLAIVE
Au cœur oublié de l’Afrique, en lisière des grands fleuves, des déserts infinis, des volcans mal éteints, Hamouris et Bamounas fourbissent leurs glaives. Ennemis depuis le commencement, le peuple de la cité et la tribu des forêts sont prêts, cette fois, à s’exterminer. Sans pitié. Sans limite. Sans repentir. Dans l’ivresse génocidaire. Le mal est-il inévitable dans l’histoire ? L’espérance est-elle condamnée au silence ? Et le seul sacrifice des femmes peut-il racheter la folie des hommes ? Sur fond de mânes des ancêtres et de chiens de guerre, de filles gazelles et de sorciers maudits, d’amours telluriques et de rires sanglants, c’est tout un continent que chante Edem KODJO.
Charnel, incantatoire, voici un roman-univers en forme de parabole implacable sur le temps présent.
Sur les routes sanglantes de l’exil
Ce roman nous mène dans les tristes réalités de la guerre qui constitue la vie en amont des réfugiés. Il ne s’agit pas seulement des crépitements de balles mais surtout d’une histoire d’amour pleine d’émotions, de larmes de joie et de peine et entrecoupé de suspens qui se vit d’abord dans un pays noyé dans la guerre et ensuite sur une terre d’asile.
La plus belle maman
Un événement inédit : la Mairie lance le concours de la plus belle maman du village. Le petit Cossi y inscrit sa mère. Celle-ci, consciente de sa laideur physique, refuse d’y prendre part. Mais l’enfant, convaincu que sa mère est la plus belle de toutes les mamans du village, réussit à lui faire changer d’avis. Et le miracle se produit.
« La plus belle maman » est la célébration de la beauté du cœur, un réquisitoire contre l’intolérance et un plaidoyer en faveur des exclus et des mal-aimés de la société.
Les marmailleurs
L’aiguille de la montre indiquait vingt-deux heures quinze. Couché dans son lit, il revoyait en boucle, le film de la journée, en particulier, la séquence de son arrestation. Deux jours avant les épreuves, les parents d’élèves défilaient sous ses yeux. Il finit par tendre la main. Un cas, deux, trois, quatre, dix, vingt avaient déposé une enveloppe. Gagné par l’ivresse du gain facile, il avait manqué d’attention.
A mal d’amour, lasse
»A mal d’amour, lasse » évoque les nombreux ressentiments de la femme, surtout dans les sociétés traditionnelles africaines où perdure encore la conception selon laquelle celle-ci n’a de rôle à jouer qu’au foyer. Il nous fait surtout vivre les nombreux sacrifices qu’elles sont prêtes à consentir – bien souvent par amour – dans le silence de la douleur, au nom de la famille, des enfants et plus encore, des valeurs sociétales.
REGENERATION
Frappé par la poliomyélite à l’âge de cinq ans, l’auteur perd l’usage de ses jambes. Contre la nature et contre la prédiction des hommes, à force de courage et de privations, il a su surmonter les entraves du handicap pour atteindre son objectif, celui d’être utile à la société.
Le lion et le trône
Ce roman est construit sur la trame du récit d’un événement historique qui a marqué son village natal : l’arrivée d’un lion dans les champs. Ce dernier avait mis ses pattes dans un piège à gibier et avait constitué une menace pour la population durant quelques jours. Les guerriers du village avaient réussi à abattre le fauve mais il avait aussi fait une victime parmi la population.
Autour de cette charpente, Augustin Komivi Nyuiava MOSSI a brodé les problèmes qui assaillent la vie des populations des villages africains dans un contexte global de pauvreté et de retard de développement. Il s’agit d’une part, des oppositions entre les croyances ancestrales et la foi chrétienne avec souvent, des excès de zèle, source de superstitions et de comportements irrationnels, et d’autre part, la problématique du pouvoir, à l’origine de conflits permanents, quelle que soit la manière dont il est acquis et quel que soit le niveau auquel il est exercé.
Nourah, la martyre de l’adolescence
Nourah en tombera enceinte. Mais comment en parler à ses parents ? Comment Cédric réagira-t-il ? Pour quelle raison publiera-t-il les photos nues de sa bien-aimée sur les réseaux sociaux ? Qu’est-ce qui obligera l’adolescente à décider de se suicider ? Bref, il s’agit d’une aventure à plusieurs équations qui permet de mettre en exergue les défis liés à l’âge de la puberté, l’impact du faible dialogue entre parents et adolescents autour de la sexualité ainsi que l’influence des réseaux sociaux sur leur éducation scolaire. Cet ouvrage illustré est écrit dans un style simple et accessible à tous dont une partie est consacrée à dix questions importantes sur l’éducation sexuelle. Il est vivement recommandé aux adolescents, aux jeunes, aux parents et aux enseignants.
Erreur fatale
« J’ai été jugée et condamnée à dix ans de prison pour un crime que je n’avais pas commis. La nature me faisait sûrement payer mes crimes passés pour lesquels j’avais échappé à toute poursuite. J’en paye le prix fort. Du fond de ma cellule, je prie pour ma mère même si je lui en veux toujours. Je prie pour elle car je sais que depuis mon arrestation elle ne cesse de pleurer. Au procès, chaque fois que je tournais mon regard vers elle, du bout des lèvres, elle me murmurait: »je te demande pardon, Mira ». »