Déchire ta liste
« L’ouvrage entre vos mains, se veut ainsi le récit d’une vie façonnée par la Parole du Seigneur, grâce à un passage au crible de sa Passion. Vous verrez qu’aujourd’hui, revenue de toute peur […]. »
Demain la plénitude
“Au-delà de la thématique évoquée, ce qui fait la force de cet ouvrage réside, pour finir, dans la facilité avec laquelle Ernest joue avec la langue en recourant à des images très évocatrices de son Afrique et qui s’appuie sur un style sobre, mais alerte qui fera à coup sûr le bonheur des vrais « voyants » qu’évoque tant un Arthur Rimbaud. Enfin ce recueil est à lire avec tout le recul nécessaire en vue de se laisser pénétrer par chaque son, chaque mot voire chaque signe linguistique. Et c’est à cette seule condition que ce chef-d’œuvre aura relevé le défi que son auteur lui a assigné.”
M. Jean-Rémy A. D’Almeida
Enseignant-chercheur
Des cheveux et des ongles
Des cheveux et des ongles de Patron Henekou livre aux lecteurs le spectacle d’un festival de vers, où s’invitent des mots pour à la fois portraiturer le tragique existentiel et commémorer les disparus à travers l’évocation des thèmes de l’immigration, de la violence, de la vacuité du monde. Ici, l’écriture se manifeste comme un culte à la beauté, à l’amour et à la vie, une esthétique par laquelle ce poète humaniste tente une restauration des mémoires ancrée dans les mystères de la survivance, et un affermissement de l’espoir d’une génération en quête de vie et de bonheur.
Patron HENEKOU
Des espoirs abandonnés
C’est le récit émouvant de la vie des enfants abandonnés dès leur naissance et qui, récupérés parfois au hasard, font l’amère expérience de vivre dans des centres d’accueil.
Moïse O. Inandjo
DES VILLES ET DES HOMMES
« Annie Ferret n’est pas photographe, néanmoins les portraits d’hommes et de femmes qu’elle esquisse dans ces pages semblent sortir de l’objectif d’une photographe habituée à observer le monde. De Bamako à Lomé, en passant par Ouagadougou, Des villes et des hommes met à nu, de manière singulière et poétique, les sentiments à la fois nobles et troubles qui gisent dans les tréfonds d’une humanité esclave de ses préjugés comme de ses expériences les plus sincères. Annie Ferret portraiture avec des mots simples et justes, en résonance avec la simplicité des modèles qu’elle croise sur les routes d’Afrique. Paraît-il que dans une autre vie, notre auteure posait comme modèle pour des peintres et des sculpteurs. Désormais, c’est le monde qui pose devant son stylo-caméra, et les nouvelles qu’elle donne du monde, rassurent autant qu’elles inquiètent. »
DEVOIR DE DIGIGA
À la lecture de l’œuvre, Devoir de Didiga n’est pas un simple hommage au fondateur ivoirien du genre. Il est surtout utile dans la construction d’une œuvre écrite, c’est-à-dire, ici, dans l’avènement d’une « littérature » – au sens littéral. (…)Ceci explique en particulier le découpage de la pièce de Clément qui reprend tous les codes antiques du genre, du prologue à l’épilogue, l’alternance entre chant et dialogue, l’accompagnement des héros par un chœur, etc., (…)Cependant, par cette construction, il ouvre la possibilité de lire et de comprendre le genre du didiga comme un moment du chaos du langage dans la société (bété), ou, plus exactement, comme un moment où se forge précisément un langage (et peut-être même une certaine vision) du monde.
DIDIGA D’ECOLE
“Didiga d’école, c’est la beauté des traditions mais aussi, parfois, la nécessité de s’en éloigner quand elles font obstacle à l’épanouissement individuel…
DU MÉTIER DU JOURNALISTE DANS UNE DÉMOCRATIE
« Informer, c’est former… l’opinion, la vision. C’est à ce travail, social et politique, véritable sacerdoce de pédagogue que le journaliste africain s’attèle, pour peu que le champ lui soit favorable d’exercer son métier. Journaliste, c’est d’abord un métier, et Luc Abaki le sait, qui l’exerce depuis plus de deux décennies, et en partage les linéaments qui le fondent avec le lecteur de cet essai, au ton vif et plaisant.
Écrire les silences
« A travers le tissage des mots, il démontre comme un mathématicien du verbal inaudible, que le senti est plus expressif que le dit, et que les sensations intimes entre l’humain et la nature ne sont pas facilement perceptibles par le profane.
Pour ne pas crier, Ndongo MBAYE chante la vie. Le silence est sagesse sur tous les espaces d’humanité où il est possible de parler les mots dans les coulisses.
Ecouter et entendre toutes les palpitations, toutes les comptines inaudibles, plonge le lecteur dans la lumière de la vie où il ne rencontrera que des « Visages de Bonheur à satiété » qui lui rappelleront que le monde existe dorénavant pour lui et les autres comme le suggèrent les trois points de suspension qui accompagnent le titre de cette belle œuvre. »
Prof Moussa DAFF, Professeur titulaire des Universités de classe exceptionnelle, Linguistique et Didactique (UCAD)
Ndongo MBAYE
Elle
Le recueil de poèmes ELLE est un véritable appel lancé aux deux genres, chacun de son côté à se réconcilier avec lui-même et avec l’autre. Tout est parti de l’adaimonie qui perturbe la tranquillité de l’homme face à la femme, la peur de la voir défier son pouvoir. Cet ouvrage a décroché le Grand Prix de la Littérature Togolaise en 2020.
Koutchoukalo TCHASSIM
Emmanuel Adebayor la lumière
“Adébayor n’est certes pas le joueur le plus talentueux de l’histoire du football de son pays. Cependant, c’est une lapalissade, il aura contribué foncièrement à booster l’image de cette discipline et par ricochet, celle de son pays dans le landerneau sportif international ces dernières années. Il est, à n’en point douter, le meilleur support de communication de son pays.
Mal entouré, Shéyi a été pris parfois dans ces cyclones qui ont grignoté son capital-sympathie au sein de l’opinion qui a du mal à décrypter les coutures de sa personnalité, si volatile, imprévisible, mais en même temps, séduisante. Paradoxes, avions-nous dit !
Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, Emmanuel Adébayor est un joueur charmant lorsqu’il se décide à faire chavirer de plaisir exquis les aficionados, transis par ces sensations ineffables qui vous font nager dans l’azur. ”
Extrait de la préface de Hans K. MASRO,
Journaliste Sportif (Ex-BBC)
En quête d’équité et d’égalité
« Le présent essai, paru aux éditions Continents, s’inscrit dans la même veine de la mise en lumière des femmes togolaises, des plus humbles aux plus sublimes, des institutrices aux premières dames, en passant par des politiques, des avocats à la cour et des maires. Mais cette fois-ci, cet intérêt pour la femme togolaise questionne l’historicité de la lutte pour son émancipation, avec en toile de fond le rôle des gouvernements successifs dans la promotion ou non de la gent féminine. La convocation des conférences internationales sur les femmes auxquelles le Togo a pris part, les ombres et les lumières de la politique de promotion de la femme, initiée par les gouvernements togolais successifs corroborent l’argument ci-dessus et permettent de mieux comprendre les combats des femmes et leurs parcours respectifs présentés dans cet essai. »