Emmanuel Adebayor la lumière
6.000 CFA
“Adébayor n’est certes pas le joueur le plus talentueux de l’histoire du football de son pays. Cependant, c’est une lapalissade, il aura contribué foncièrement à booster l’image de cette discipline et par ricochet, celle de son pays dans le landerneau sportif international ces dernières années. Il est, à n’en point douter, le meilleur support de communication de son pays.
Mal entouré, Shéyi a été pris parfois dans ces cyclones qui ont grignoté son capital-sympathie au sein de l’opinion qui a du mal à décrypter les coutures de sa personnalité, si volatile, imprévisible, mais en même temps, séduisante. Paradoxes, avions-nous dit !
Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, Emmanuel Adébayor est un joueur charmant lorsqu’il se décide à faire chavirer de plaisir exquis les aficionados, transis par ces sensations ineffables qui vous font nager dans l’azur. ”
Extrait de la préface de Hans K. MASRO,
Journaliste Sportif (Ex-BBC)
Journaliste et cinéaste, Zeus Komi AZIADOUVO offre au grand public, son deuxième ouvrage qui porte sur une légende incontestable du football togolais : Shéyi Emmanuel Adébayor. A travers des témoignages, Zeus montre les facettes multiformes du nouvel attaquant de Crystal Palace. Pour Zeus, “l'histoire émouvante d'Adébayor doit inspirer tous les jeunes africains qui comptent faire carrière dans le football. Ils doivent comprendre que le succès est au bout de moult sacrifices.” Depuis 2016, l’auteur est membre de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC).
Œuvre similaires
Le vodun ne fait pas rêver
« …Dans le fond, et au demeurant, la question sous-jacente à ce livre ne rejoint-elle pas la question fondamentale que pose l’esprit de l’athéisme que nous trouvons chez André Comte-Sponville et qui par ailleurs fut le thème de la récente conférence de carême à Notre Dame de Paris au cours de laquelle l’illustre et distingué conférencier Guillaume de Menthière invitait à démasquer les ombres et chasser les ténèbres, en essayant de répondre en notre âme et conscience à la question : « Allons-nous quelque part ? » et en l’occurrence, « allons-nous quelque part avec le vodun ? ». Œuvrer ainsi, c’est rendre service à ce que nous considérons comme un précieux héritage culturel du Bénin et de la diaspora noire en général.
La crise de l’écriture dans La Polka de Kossi EFOUI
Le principal défi du lecteur de La Polka, c’est de pouvoir résumer l’œuvre. Un exercice délicat, le roman étant conçu comme un puzzle où les différentes parties du récit sont éclatées, brisant ainsi la linéarité classique du roman traditionnel. Cet ouvrage se propose de relever le challenge en identifiant les mécanismes qui ont contribué à sa structure singulière afin d’induire une compréhension moins déroutante, plus accessible. Tout compte fait, il est question de démêler l’écheveau, de retrouver tous les pions et de les remettre chacun à leurs justes places, de reconstituer du coup la linéarité structurelle et sémantique inhérente à l’œuvre nonobstant son chaos factice voire fantaisiste, tout en relevant les mécanismes de déconstruction qui caractérisent les nouvelles écritures africaines.
La vérité autour de la COVID-19
A travers ce livre, l’auteur analyse la crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19 dont le monde entier paie un lourd tribu avec plus d’un million de contaminés et des milliers de morts. La vérité autour de la Covid-19 vient à point nommé, puisqu’il essaie de faire la lumière sur certains points essentiels restés cachés au public. C’est quoi la Covid-19 ? Quelle est son origine ? Comment se manifeste-t-elle ? Quels sont ses impacts sur l’évolution du monde ? Quelles sont les actions qui doivent être menées pour la vaincre ? Quelle place le monde réserve-t-il à Dieu le créateur de l’humanité et le plus grand guérisseur, dans cette lutte contre le virus ? Autant d’interrogations auxquelles tente de trouver des réponses, Marthurin OBIANG NZUE pour qui la première référence dans la réalisation du présent ouvrage est la Sainte Bible.
LITTERATURE TOGOLAISE
Du 29 au 31 janvier 2020, l’équipe de recherche CoDIReL de l’Université de Lomé a organisé un important colloque intitulé « La littérature togolaise : histoire, poétique et didactique ». Ce livre est le résultat de cet important colloque et aborde les préoccupations prioritaires à l’enseignement de la littérature togolaise, sa taxonomie, sa périodisation, la problématique genre et l’expression littéraire féminine, les relations entre la littérature et l’histoire, les rapports de pouvoir et d’influence témoignant de l’existence d’un champ littéraire. Autant l’histoire littéraire vise à faire ressortir les forces et les faiblesses de la littérature existante, autant la poétique peut en tirer des orientations pour la littérature vivante, celle qui continue de s’écrire. Cet ouvrage se veut un jalon nécessaire pour une saisie raisonnée de la littérature togolaise.
LES SECRETS DE LA REUSSITE DE LA VIE
« En effet, ce que nous désirons n’est pas nécessairement de quoi nous avons besoin. Le désir d’un homme peut être provoqué par un facteur externe et frivole qui n’est pas nécessairement en phase avec l’appel de la personne. Le désir est souvent passager et nous camouffle la vision surtout lorsqu’il est en déphasage avec cette dernière. Ce n’est qu’après avoir satisfait un désir que l’on reconnaît qu’il diffère de notre besoin. Combien de fois n’avons-nous pas cru que c’est le manque d’argent qui nous met dans la situation dans laquelle nous sommes ? Que c’est le manque de diplômes qui nous ralentit? Que c’est le manque d’enfants qui nous rend la vie difficile ? »
Politique étrangère du Togo : une décennie d’offensive diplomatique
« Le présent ouvrage est l’un des rares livres essentiellement consacrées à la politique étrangère du Togo. Il est d’autant plus intéressant qu’il est le produit d’un diplomate togolais qui partage ses propres diagnostics des orientations qui gouvernent sa profession. L’exercice peut être comparé à une espèce d’auto-écriture ou d’« herméneutique de soi » qui permet d’éclairer quiconque s’intéresse au Togo et à sa politique étrangère. Le soi ricourien est un soi capable et agissant, et Steve Bodjona a bien voulu joindre l’écriture à son travail quotidien de diplomate en rédigeant cet ouvrage. »
Extrait de la préface du Professeur Robert DUSSEY, Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération et de l’Intégration Régionale du Togo
CEDEAO, du libre-échange au marché commun…
L’intégration par le marché qui caractérise les regroupements régionaux africains, est-elle véritablement porteuse de croissance pour tous les Etats parties? En effet, le déséquilibre économique notoire entre les pays, met en doute l’aptitude des Etats faibles à tirer pleinement profit de leur appartenance à une communauté de marché semblable à la CEDEAO.
Le Niger, qui est un grand militant de la CEDEAO, a malheureusement peu de dotations factorielles, ce qui amenuise ses chances dans les échanges intracommunautaires.
Les thématiques développées dans ce livre, présentent les opportunités commerciales du Niger du fait de son appartenance à cette institution, les menaces auxquelles il fait face et les pistes d’amélioration de son commerce.
Les « hommes de Dieu » dans la cité africaine
ntre les personnes qui souhaitent que les “hommes de Dieu” descendent dans l’arène politique et celles qui pensent que le rôle de ces derniers est strictement spirituel, l’auteur estime que, pour combattre la misère, l’injustice, l’oppression, la corruption, le néocolonialisme, etc., prêtres, pasteurs et imams ne sont pas obligés de militer dans des partis politiques ou d’exercer des charges publiques (député, maire, ministre ou président de la République). Pour lui, les “hommes de Dieu” peuvent contribuer à la stabilité et à la bonne marche de la Cité en dénonçant les discours et comportements susceptibles de porter atteinte au vivre-ensemble. Cela suppose qu’ils soient financièrement indépendants des hommes politiques qui n’aiment pas toujours être contredits ou interpellés sur leur gestion du bien commun.
Jean-Claude Djéréké montre ainsi que l’annonce de la Parole de Dieu et le prophétisme sont deux choses inséparables et que, pour parler valablement et sérieusement d’amour et de paix, il est urgent et nécessaire de s’attaquer aux mensonges, aux injustices économiques, sociales ou politiques qui chaque jour tirent nos pays d’Afrique francophone vers le bas.
Fictions africaines et écriture de démesure
Les fictions africaines, dans le cas de cette analyse, sont un ensemble de quelques œuvres africaines engendrées par le fait colonial, les faits sociaux d’après la colonisation ; bref la vie quotidienne des sociétés africaines. Les auteurs de ces fictions, dans leur démarche créatrice, se devaient de respecter les normes et les idéologies du centre ou de la métropole puisque c’était l’ère du conformisme adopté par certains précurseurs du roman africain tels que Félix Couchoro, Paul Hazoumé, David Ananou et bien d’autres. La notion de démesure reste intrinsèquement liée à la quête de liberté, de l’identité sinon de l’authenticité des valeurs africaines. La démesure se manifeste de diverses manières dans les fictions africaines : elle est synonyme de décentrement, à tous égards, de l’ancienne métropole qui n’est plus référentielle et dont la langue, le français hexagonal aussi rigide, ne favorise pas la traduction véritable des réalités africaines.
A cet effet, les œuvres ne peuvent être comprises qu’à travers l’exploitation de certains outils d’analyse dont se sert le lecteur.
Littérature togolaise : discours et figures d’autorité
Ce recueil de quinze articles consacré aux écrivains togolais et aux discours qui leur confèrent une autorité littéraire se veut un cadre de concertation préalable sur les contours et les modalités d’une « réécriture » de l’histoire de notre littérature…
La cartographie de cette littérature reste et demeure un chantier ouvert qui n’attend que l’œuvre des spécialistes pour dévoiler son nouveau champ littéraire et artistique. Elle ne peut s’écrire, à notre avis, que si, préalablement, elle est référée à son histoire. Or cette histoire, mal connue, est souvent racontée en »lambeaux » ou par chapitres quelquefois inachevés. Écrire l’histoire de la littérature togolaise avec une nomenclature précise des auteurs à travers le temps, et établir une typologie rigoureuse des discours qui ont marqué et enrichi les grandes étapes de son évolution, fut l’enjeu ultime à l’origine de la présente initiative. Quelle est l’identité réelle de la littérature togolaise ? Peut-elle se prévaloir aujourd’hui d’une quelconque fécondité ? Cinquante ans après l’indépendance de la nation togolaise, en quoi a-t-elle pu contribuer à l’émancipation de l’écriture narrative ou métadiscursive ?
Les contributions, dans l’ensemble, proposent des pistes de recherche qui s’articulent autour de trois axes, à savoir :
- la littérature togolaise, des origines à nos jours : historiographie et nomenclature ;
- les innovations esthétiques du nouveau champ littéraire et artistique togolais ;
- les perspectives pour une utilisation pédagogique de la littérature togolaise.
Littérature togolaise, discours et figures d’autorité constitue un précieux outil de travail tant pour les universitaires que pour les écrivains eux-mêmes. Il contribuera, nous l’espérons, à une meilleure connaissance de notre littérature…
Le journalisme au Togo : contraintes et réalités du terrain
…En publiant cette cuvre à vocation epistemologique, l’auteur jette les bases du méta-journalismes togolais qui selon le Directeur du Centre d’expertise et de recherche africain sur les médias et la communication (CERAM), Serge Théophile BALIMA, « semble être le seul moven de garantir un avenir prometteur au journalisme dans nos pays en processus démocratique ». C’est ma foi, la presse togolaise ne sauvera sa crédibilité mise à mal que si, comme le fait cet auteur, s’allument intermittemment de puissants projecteurs sur les distorsions qu’elle inflige à la réalité. »
Extrait de la préface de Gilles BOCCO,
journaliste, Chargé de communication au Système d’échanges d’énergie electrique de la CEDEAO
« Un journaliste qui ne vit pas de son job est facile à corrompre… Le journaliste n’a pas de statut au Togo. En l’absence de convention collective, les journalistes sont exploités à fond par des patrons de presse… »
Noël Kokou TADEGNON, Journaliste, Correspondant de l’Agence REUTERS au Togo
« Cet ouvrage nous rappelle à l’ordre, a l’éveil des consciences, aussi bien chez les professionnels du métier que chez les acteurs de la société politique et civile. »
Extrait de la postface de Francine AYESSOU-KOMLA,
Journaliste indépendante résidant à Dublin Irlande)
Ecrivain et journaliste, VONDOLY révèle dans cet ouvrage, les contraintes et les réalités de l’exercice du métier du journaliste au Togo. Il aborde plusieurs problématiques, notamment la précarité qui est la source de nombreux dérapages des journalistes, le manque de professionnalisme chez la plupart devenus des mercenaires de la plume, et les éventuelles conséquences sur la vie des paisibles citoyens. I évoque aussi l’insécurité qui plane sur les journalistes, souvent agressés sur leurs lieux de travail. Ses analyses sont basées sur les regards que le public porte sur un secteur devenu extremement pourri au Togo.
Rachid Boudjedra : masculinité, féminité, transculturalité
Tout le long de cet essai, Kangni Alem a tenté d’approfondir d’abord l’itinéraire et les réactions de certains personnages masculins de Boudjedra face aux manifestations de l’Autorité, définie ici comme « figure rhétorique », catégorie mentale ou socio-économique ; ensuite, en analysant ce que la prise de la parole par la femme, autre victime éternelle de l’Autorité dans le roman maghrébin, peut révéler comme nouveautés, permanences ou ambivalences, il en arrive à la conclusion que l’inscription du sujet dans l’histoire étant corrélative de sa prise de parole, de l’affirmation de son individualité, lire Boudjedra dévoile une œuvre qui se positionne devant l’Histoire, entendue elle aussi comme figure d’autorité. L’individu maghrébin transculturel, particulièrement guetté par le syndrome de l’âge d’or arabe ou le traumatisme de la guerre coloniale, est nostalgique devant une histoire dont il peut aussi contribuer parfois à celer les contradictions.