Dans le silence de la nuit
« Dans le silence de la nuit », un nouveau genre et un champ encore inexploré dans la Littérature. Dans l’univers des bandes dessinées il a découvert des mots particuliers qui attiraient son attention. Des mots comme BOUM ! CRAC ! VROUUUUMMM, etc. Il en chercha et perçut l’essence quelques temps après. »
Marius BODJONA
DANSE AVEC MOI
Danse avec moi est sa première publication littéraire, un recueil de nouvelles et récits qui abordent des sujets comme la colonisation, l’immigration, la condition féminine… Surréalistes, absurdes ou d’une facture plus classique, ces histoires marient toujours l’humour à une écriture très originale et offrent un regard inattendu sur le monde occidental et africain.
De cœurs en cœur
C’est dans l’intensité qu’il professe sa foi dans l’avenir du TOGO… Douceur, fidélité et foi vont s’emparer de son cœur comme trois grands soleils dans un ciel momentanément assombri par des incendies criminels des marchés dont celui de Lomé Adawlato, une figure emblématique de l’économie togolaise, qui le laissaient inconsolable.
Steve BODJONA
DE KECSKEMÉTI À SELES : L’AFRIQUE AU CONSEIL INTERNATIONAL DES ARCHIVES
Créé sous l’égide de l’UNESCO en 1948, le Conseil international des archives célèbre ses 75 ans d’existence en juin 2023. Cette organisation internationale basée sur la loi française de 1901 et ayant son siège à Paris, a pour but essentiel la promotion de la préservation et de l’accès aux archives dans le monde entier au moyen de la coopération internationale…
Demain la plénitude
“Au-delà de la thématique évoquée, ce qui fait la force de cet ouvrage réside, pour finir, dans la facilité avec laquelle Ernest joue avec la langue en recourant à des images très évocatrices de son Afrique et qui s’appuie sur un style sobre, mais alerte qui fera à coup sûr le bonheur des vrais « voyants » qu’évoque tant un Arthur Rimbaud. Enfin ce recueil est à lire avec tout le recul nécessaire en vue de se laisser pénétrer par chaque son, chaque mot voire chaque signe linguistique. Et c’est à cette seule condition que ce chef-d’œuvre aura relevé le défi que son auteur lui a assigné.”
M. Jean-Rémy A. D’Almeida
Enseignant-chercheur
Des cheveux et des ongles
Des cheveux et des ongles de Patron Henekou livre aux lecteurs le spectacle d’un festival de vers, où s’invitent des mots pour à la fois portraiturer le tragique existentiel et commémorer les disparus à travers l’évocation des thèmes de l’immigration, de la violence, de la vacuité du monde. Ici, l’écriture se manifeste comme un culte à la beauté, à l’amour et à la vie, une esthétique par laquelle ce poète humaniste tente une restauration des mémoires ancrée dans les mystères de la survivance, et un affermissement de l’espoir d’une génération en quête de vie et de bonheur.
Patron HENEKOU
Des espoirs abandonnés
C’est le récit émouvant de la vie des enfants abandonnés dès leur naissance et qui, récupérés parfois au hasard, font l’amère expérience de vivre dans des centres d’accueil.
Moïse O. Inandjo
DEVOIR DE DIGIGA
À la lecture de l’œuvre, Devoir de Didiga n’est pas un simple hommage au fondateur ivoirien du genre. Il est surtout utile dans la construction d’une œuvre écrite, c’est-à-dire, ici, dans l’avènement d’une « littérature » – au sens littéral. (…)Ceci explique en particulier le découpage de la pièce de Clément qui reprend tous les codes antiques du genre, du prologue à l’épilogue, l’alternance entre chant et dialogue, l’accompagnement des héros par un chœur, etc., (…)Cependant, par cette construction, il ouvre la possibilité de lire et de comprendre le genre du didiga comme un moment du chaos du langage dans la société (bété), ou, plus exactement, comme un moment où se forge précisément un langage (et peut-être même une certaine vision) du monde.
DIDIGA D’ECOLE
“Didiga d’école, c’est la beauté des traditions mais aussi, parfois, la nécessité de s’en éloigner quand elles font obstacle à l’épanouissement individuel…
DU MÉTIER DU JOURNALISTE DANS UNE DÉMOCRATIE
« Informer, c’est former… l’opinion, la vision. C’est à ce travail, social et politique, véritable sacerdoce de pédagogue que le journaliste africain s’attèle, pour peu que le champ lui soit favorable d’exercer son métier. Journaliste, c’est d’abord un métier, et Luc Abaki le sait, qui l’exerce depuis plus de deux décennies, et en partage les linéaments qui le fondent avec le lecteur de cet essai, au ton vif et plaisant.
Écrire les silences
« A travers le tissage des mots, il démontre comme un mathématicien du verbal inaudible, que le senti est plus expressif que le dit, et que les sensations intimes entre l’humain et la nature ne sont pas facilement perceptibles par le profane.
Pour ne pas crier, Ndongo MBAYE chante la vie. Le silence est sagesse sur tous les espaces d’humanité où il est possible de parler les mots dans les coulisses.
Ecouter et entendre toutes les palpitations, toutes les comptines inaudibles, plonge le lecteur dans la lumière de la vie où il ne rencontrera que des « Visages de Bonheur à satiété » qui lui rappelleront que le monde existe dorénavant pour lui et les autres comme le suggèrent les trois points de suspension qui accompagnent le titre de cette belle œuvre. »
Prof Moussa DAFF, Professeur titulaire des Universités de classe exceptionnelle, Linguistique et Didactique (UCAD)
Ndongo MBAYE
Elle
Le recueil de poèmes ELLE est un véritable appel lancé aux deux genres, chacun de son côté à se réconcilier avec lui-même et avec l’autre. Tout est parti de l’adaimonie qui perturbe la tranquillité de l’homme face à la femme, la peur de la voir défier son pouvoir. Cet ouvrage a décroché le Grand Prix de la Littérature Togolaise en 2020.